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 « Mais regarde devant toi ! » [PV ANTONI]

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Jessica Austen

Jessica Austen


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MessageSujet: « Mais regarde devant toi ! » [PV ANTONI]   « Mais regarde devant toi ! » [PV ANTONI] Icon_minitimeVen 17 Oct - 19:35

    Encore une de ses journées misérables en perspective. Encore un de ces matins monotones ou le froid gelait les routes, du moins, celles qui avaient la chance de ne pas être inondées, quelle poisse. Le premier jour de son arrivée, par la colline Ouest, les déménageurs avaient aperçût l'inondation qui avait fait rage jusqu'ici, non mais, ils ne regardent pas les informations ? Ils auraient pût prévoir...parce qu'ils partis en lui disant qu'ils mettraient ses affaires dans un entrepôt. Elle était donc descendue pour voir de ses propres yeux car elle n'y croyait pas vraiment. Lorsqu'elle descendit, elle se fit arrêter par la police et on l'emmena en direction du gymnase, on ne l'autorisa pas à remonter, malgré les grands cris et les insultes qui avaient fusés, oh bien sûre, elle n'était pas vulgaire, avait le sens de la convenance, mais dans ses moments là, ou l'énervement et la colère prenait possession d'elle, elle pouvait se comporter comme un enfant, ou pire, un gamin capricieux insatisfait de ce qu'il à !

    Aujourd'hui, c'était journée détente, ben quoi, dormir dans une pièce avec plus d'une centaines de personnes dans un lit minuscule dont la couverture était aussi épaisse qu'un pull. Et puis, sans compter la nourriture immonde qu'on lui servait, oui d'accord, elle avait toujours été riche et habituée à un certain type de mets, elle avait même un cuisiner à domicile qui lui faisait ses repas, elle ne savait pas cuisiner ni encore moins faire le ménage ou se fatiguer pour des tâches ménagères, non, elle avait besoin d'un certain confort pour vivre, pour se détendre, toujours habituée à la compagnie de l'argent, c'était devenu normal, maintenant d'acheter des choses hors de prix sans économiser, de se faire bichonner comme aujourd'hui, de toute façon, à quoi bon se restreindre, la vie est trop courte, tâchons de faire tout ce dont on à envie, pour pouvoir ne rien regretter d'une vie qui s'était montrée un peu mauvaise envers elle, mais tout cela devait changer. Elle devait nouer des liens avec sa sœur sans lui dire qu'elle était de sa famille, se faire des amis et trouver un sens à son existence, et arrêter de reprendre de mauvaises habitudes, dépendances auxquelles elle avait lutter pendant sa cure.

    Ainsi aujourd'hui, elle était allée chez le coiffeur pour teindre ses cheveux en roux foncés, la couleur trop vive, ça lui donnait mal aux yeux et le soleil de l'été dernier les avaient un peu trop éclaircis. Après un petit tour chez l'esthéticienne et la manucure, ensuite sortable pour aller faire un peu de shopping. Non mais elle n'avait plus rien, tout était dans le camion, il fallait donc qu'elle trouve d'urgence de quoi s'habiller. Elle avait donc acheter une multitude d'affaires de marques, dans de grands magasins couteux, et portait donc sur elle une magnifique robe blanche moulante qui lui arrivait au dessus des genoux, une pochette dorée sous le bras et des paquets dans l'autre main, ses talons devaient faire au moins dix centimètres, ce dont elle pouvait s'abstenir, de nature plutôt grande elle n'avait pas de problème là dessus. Elle marchait donc gracieusement sur le parking, ses talons raisonnant presque dans le silence cérémonieux d'une matinée triste. Il n'y avait presque personne, comme si on n'allait jamais faire les magasins. Ah oui, peut être se souciaient-ils de savoir si l'eau avait envahit leurs maisons, mais elle s'en fichait, c'était pas son problème, elle venait d'arriver et ce qu'elle avait acheté était légèrement en hauteur, pas de risque, elle avait tellement vécût dans la solitude qu'elle était devenue égoïste et qu'elle ne pensait qu'à elle même. Bah quoi, quand on à pas d'amis, autant penser à soi non ?

    Elle posa ses paquets dans le coffre d'un cabriolet noir laqué en esquissant un sourire, observant ses nombreux paquets, elle frémit de plaisir, avec une hâte d'enfiler toutes ses chaussures, toutes ses robes...d'accord, je l'admets, elle vouait un culte à la mode...pas de sa faute...la mode, c'était toute sa vie...elle n'avait que ça à se soucier, pas d'amis, pas de copains, juste de l'argent, et les amis d'un soir autour d'une bonne bouteille. Les apparences étaient importantes, très, de nos jours, on ne juge que par ça, autant qu'elles soient bonnes, positives...Elle s'assit donc au volant de sa voiture et redressa son rétro-viseur, prenant bien soin de se brosser les cheveux et de se passe rune deuxième couche de maquillage, on ne sait jamais, on peut être maté en voiture aussi ! Et elle aimait plaire, c'était ça, sa vie, l'argent, les coups d'un soirs et les dépendances...Oh mon dieu comme sa vie était pathétique...

    Elle fit une marche arrière et roula jusqu'au bout du parking lorsqu'une voiture la percuta à l'arrière...elle cogna sa tête dans le volant et s'arrêta, se levant et claquant la portière d'un geste brusque, elle courût au lieu de l'accident et regarda effaré ce qu'un idiot avec causé à son bébé, non mais regardez moi ça ? Inconscient, stupide, oh mon dieu ! Lorsqu'un homme descendit de la voiture, elle n'attendit pas plus d'une seconde pour se mettre à se plaindre, en désignant l'impact qu'il avait fait.


    - Espèce d'idiot ! Vous avez vu ce que vous avez fait !!
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Antoni Coleridge

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MessageSujet: Re: « Mais regarde devant toi ! » [PV ANTONI]   « Mais regarde devant toi ! » [PV ANTONI] Icon_minitimeVen 17 Oct - 20:07

  • Antoni lui aussi s’ attendait à passer une journée pourri. Cette ville il commençait vraiment à la détester. Il détester le FBI et leur manière hautaine de traiter les choses, à chaque question, suggestions qu’ il fessait il avait l’ impression d’ être traiter comme un bleu, comme un abruti. Il détestait cela, il n’ avait qu’ une envie les remettre à leur place mais il ne pouvait pas. C’ était le FBI. Dire qu’ Antoni avait voulut travailler à leur côté. Il était loin l’ enthousiasme des premières jours. Désormais, c’ était ras la casquette, café et clopes. Clopes parce qu’ Antoni avait repris à fumer, il détestait toutes les formes d’ addiction mais franchement où est le mal ? Si il crèverait il ne manquerait à personne. Surement pas à ses ex, comme son ex femme. Cela fessait mal de la voir heureuse avec un autre type, un flic en plus ! C’ était moche. Tout simplement moche de voir qu’ lle n’ avait jamais pensé à elle et qu’ après tout ce temps, ils ne se connaissaient plus vraiment. D’ ailleurs qui était capable de connaître Antoni ?.... Hum… Bonne question, lui-même ne saurait y répondre. Il n’ avait même pas de chien alors, vous imaginez bien… Antoni n’ avait personne dans sa vie, ses collègues, son job, son flingue et sa voiture.
    Comme il n’ était ni fétichisme, ni matérialiste, il est clair qu’ il pourrait se passer de tout ce dont il disposait. Sauf sa plaque. Son job, c’ est vie, sa carrière son destin. Annoncé comme ca on dirait une tragédie grecque, pas du tout, c’ est la tragédie d’ un mec qui en marre de la pluie et qui sent le solitude peser comme des rides sur son visage. Presque quarante ans, un enfant caché au compteur. Tiens, comment il alalit s’ en sortir avec celui là ? Antoni avait toujours eut envie d’ un gosse, mais un gmain de 18 ans, franchement qu’ est ce qu’ il pouvait en faire ? Dire que dans son job, il disait que rien n’ était perdu d’ avence. Il avait l’ impression d’ avoir passé sa vie à mentir. A se mentir à soi même. Il ne voulait plus d’ enfant, il ne savait plus comment s’ y prendre… L’ idée même d’ annoncer à Samuel qu’ il était son père lui donner des insomnies. Antoni ne pourrait jamais assez remercier l’ inventeur du café et des somnifères. Quel paradoxe la vie quand même… il voulait un enfant, il en a un et cela ne plait pas. Il déteste les addictions et le voila à fumer cigarettes sur cigarettes comme pour se soulager de sa solitude. Les somnifères c’ est pour les cauchemar un vieux habitude, seule voir une femme dormir à ses côtés l’ avait apaiser et depuis qu’ il était dans son chambre d’ hôtel minable, ce n’ était pas les filles qui défilaient, mais des dossiers, encore des dossiers…
    Tiens d’ ailleurs Antoni était en pleine lecture d’ un dossier, celui de son ex femme, il venait de voir qu’ elle avait épouser un flic. Divorcer d’ un flic pour en épouser un autre, c’ était un peu se foutre de la gueule du monde. Ca y est, Antoni venait de réaliser qu’ il était de mauvaise humeur. Garé sur le côté du parking, face à la boulangerie où il venait d’ aller chercher son café, il s’ apprêtait à démarrer sa voiture, quand il releva la tête intrigué par le cabriolet qui venait de passer et une légère secousse qui ne manqua pas de la faire jurer. Manquer plus que ca, un ivrogne qui ne sait pas conduire. Antoni avait toujours la clé dans sa main, il sortit en claquant la portière et se dirigea vers l’ arrière de son véhicule. Un 4x4 noire flambant neuf, son meilleur ami. Il regarda de haut en bas Jessica Austen, elle ne ressemblait pas à un ivrogne… Elle était beaucoup plus mignonne et Antoni s’ empressa de remonter rapidement son regard vers ses yeux. Les jambes, Antoni les évitaient bien vite quand il était en colère. Et en plus, elle avait le toupait de l’ engueler ! Mais il n’ avait rien fait !

    - Vous plaisantez j’ espère,…

    Antoni tentait de garder son calme, mais il avait très envie de la plaquer contre le capot et de lui passer les menottes. Mieux de l’ attacher à son volant et de lui piquer les clés. Les gens sont chiant, on peut même plus boire son café tranquillement, les femmes sont tous des enmerdeuses. En plus Jessica était rousse… Antoni adorait les rousses, c’ est peut être pour cela qu’ il ne lui avait pas collé un procès verbale sur le dos pour une quelconque raison. Pneus lisses par exemple ? Antoni agita ses clés dans un tintement métallique.

    - Mon moteur n’ est même pas allumé… Mais allez y continuer à brailler. Moi je m’ en fou, mon pare choc n’ as rien…

    Antoni avait rapidement examiné sa voiture. Dieu soit loué, sa voiture n’ avait qu’ une égratignure. C’ était son attache remarque qui avait amorti, par contre le coupé de Jessica était bien raillé et un peu englouti. Mais ca ce n’ était pas son problème. Il sourit, ironique et tourna le dos à Jessica, il n’ aimait pas boire son café froid.
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Jessica Austen

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MessageSujet: Re: « Mais regarde devant toi ! » [PV ANTONI]   « Mais regarde devant toi ! » [PV ANTONI] Icon_minitimeVen 17 Oct - 21:01

    Et c'est là que descendit un homme de grande taille, plus grand qu'elle et ça c'était difficile à trouver. Un homme plutôt baraqué et bien conversé, elle ne lui donnait pas plus de trente ans ! Un sourire à tomber par terre, un regard de braise...mais elle n'eut pas le temps de s'extasier d'avantage que celui ci se montrait plutôt désintéressé...mais pour qui se prenait t'il ? Déjà il lui rentre dedans et le nie et ne semble porter aucun interêt à son physique ? Et elle savait au combien elle attirait les hommes, ne pas se sentir au centre de l'attention, au cœur des fantasmes la mettait hors d'elle. Elle regarda machinalement l'impact et le pare-choc de l'homme en plissant les lèvres, mais pourquoi sa voiture n'avait rien ? Mais pourquoi son magnifique cabriolet, son coupé sport avait il un enfoncement et lui qu'une égratignure ? Ce monde si cruel s'offrait devant elle comme le calvaire d'une journée sans voiture. Et il s'en foutait carrément, il buvait son café, tranquillement comme si de rien n'était, mais ce n'était pas normal ! Non, sa voiture, son bébé, sa compagne, son amie, il avait foncé dans sa voiture et en plus prétendait avoir éteint la sienne, elle allait pas foncer dans une voiture, surtout qu'elle avançait c'était pas une marche-arrière ! Il était soit atteint de schizophrénie profonde soit c'était un plan de drague complètement vaseux, sa tentative avait raté. En tout cas il avait abimé sa belle et ça il le paierait très cher, oh oui !

    - Je vais appeler la police !

    Laissa t'elle entendre en lui lançant un de ses regards noirs, elle s'agenouilla face à l'impact et toucha de ses doigts ce que ce débile avait fait avec son gros cylindré, on était pas à la campagne, ni en cambrousse, on pouvait se satisfaire d'une petite voiture non ? Elle gémit et caressa la carrosserie (?). " Ma belle, on va arranger ça ", une femme obsédée par sa voiture ça existe non ? En plus c'était le cadeau qu'elle s'était fait après avoir réussit à lutter contre ses dépendances, juste après sa cure. Un petit plaisir parce qu'on ne lui offrait jamais de cadeaux, aucune attention, normal, elle n'avait pas d'amis. Logique, on l'oubliait, comme une âme en peine elle errait toute la journée ici et là en tentant de combler son désarroi et sa solitude par le matérialisme et se persuadait qu'elle y arrivait mais c'était faux, comme toute sa vie, un tissu de mensonges dont elle ignorait la vérité pour la plupart. Vivre aussi seule à cet âge, c'était malheureux, mais elle était sûre d'une chose, sans l'argent, elle serait bien plus malheureuse qu'elle ne l'était...en fait, elle ne savait rien, elle n'avait jamais rien sût et ne saurait probablement rien. Pourquoi la vie était elle si compliquée soudainement ? De telles âmes esseulées, oh comme elle aurait préféré s'échouer misérablement sur le sable. Comme la misère sur le monde s'étendait en ces bas quartiers, elle libérait ses flots malheureux et nous obligeaient à vivre dans un gymnase bruyant.

    - Vous êtes allé trop loin.

    Ajouta t'elle en observant la désinvolture de celui-ci, ça la mettait hors d'elle ce genre de choses, et il continuait à boire son café...oh il allait voir, de nature plutôt zen, passive et décontractée quand quelque chose l'énervait, ça l'énervait, et il allait le payer. Elle réfléchit un instant à ce qu'elle pourrait faire puis une idée lui vint en tête, quelque chose de plutôt enfantin mais elle s'en fichait, il le méritait et puis de toute façon elle n'avait presque aucun remord, pas pour ce genre de choses parce que oui, elle avait fait bien pire. Mais là c'était surtout sur le coup d'une impulsion et elle aimait assouvir ses pulsions et impulsions, si vous voyez ce que je veux dire...Elle se précipita vers son coffre et donna un coup de pied dedans pour l'ouvrir, elle n'était pas à un choc près...elle plongea les mains dans un de ses sacs et en sortit une paire de talons aiguilles métalliques, très hauts, très pointus, très solide et prit une chaussure et d'un mouvement brusque et violent...planta le talons à plusieurs reprises dans un des énormes pneus du 4X4 de celui ci, elle donnait des coups avec tellement d'acharnement, de rage, ce qui l'étonna elle même d'ailleurs qu'elle réussit à percer le pneu qui se dégonflait doucement, à une vitesse plutôt régulière, elle perdit l'équilibre lorsqu'elle s'arrêta de frapper et s'essouffla en jetant la paire dans le coffre d'un mouvement satisfait.

    - C'était mérité.

    Dit elle en esquissant un sourire de peste, arborant presque ce sourire infect sur son visage tel une vipère prête à dégainer encore ses armes. Elle projeta ses cheveux en arrière, donna un grand coup dans le coffre pour le refermer et le défiait du regard, elle n'attendait plus qu'une chose, de l'argent pour payer les frais de son garagiste. Des excuses, oui elle y tenait, quand elle avait une idée, elle ne pouvait pas y décrocher, abandonner, c'était comique dans un sens, n'importe qui ce serait attendu à des insultes ou à un certain " je m'en foutisme " ou encore autre chose mais pas à ce qu'on lui crève un pneu, enfin Jessica, elle ne s'imaginait pas quelqu'un ai pût réagir comme elle et n'aurait pas apprécier, c'est sûr, enfin disons pour sa défense qu'elle ne réalisait pas trop et qu'elle eut agit sous le fruit de la colère et d'une mauvaise journée, disons cela comme ça ! Comment ne pas pardonner à une femme aussi séduisante et sexy qu'elle ? Tout était pardonnable, et personne ne pouvait résister à cette paire de...seins (XD).


    - Ah on fais moins le malin hein ! Alors maintenant payez moi...remboursez moi les frais de mon garagiste...dans les 3000 dollars...ce devrait pas être trop cher, oh et je suis gentille, vous pouvez me payer en chèque !


    Oui, elle demandait une modique somme pas très élevée, qu'il allonge les billets, qu'il fasse chauffer la carte de crédit qu'il signe un chèque mais qu'il paie. Mais qu'il le fasse, personne ne traitait Jessica Austen de la sorte, elle avait le droit à un certain respect et il n'échappait pas à la règle, oui elle se sentait supérieur et d'un certain niveau social, elle s'accordait même bon nombre de privilège, mais c'était elle, quand on vit avec un seuil d'argent égal à plusieurs vies, on finit par devenir capricieux, exigeant et on se croit au dessus de tout, elle avait fait ses études dans de prestigieuses écoles, était populaires, avait un tas de copains, elle était le centre du monde, alors c'était normal qu'elle se sente autant en besoin de reconnaissance quand même n'est-ce pas ? Vivez avec l'argent et vous verrez que vous ne serez plus jamais les mêmes. D'accord, elle avait juste un problème avec le bien et le mal qu'elle ne distinguait plus très bien, mais alors ? Des tas de gens vivent avec ce problème non ?

    - Ah et j'attends aussi des excuses de vôtre part. Et pour vôtre pneu...on est quitte maintenant, vous m'avez rentrer dedans, vous n'avez plus de roue avant gauche, manque plus que des excuses et mon chèque et je vous laisserais filer. Vous me faite perdre mon temps, vous savez.
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Antoni Coleridge

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MessageSujet: Re: « Mais regarde devant toi ! » [PV ANTONI]   « Mais regarde devant toi ! » [PV ANTONI] Icon_minitimeVen 17 Oct - 21:41

  • Antoni n’ était pas gay. Ce n’ était pas parce que sa longue ne touchait pas le sol comme un personnage de looney toons qu’ il était insensible aux charmes d’ une femme. Il avait autre chose à penser c’ est tout. Il n’ était pas un obsédé du sexe, il ne l’ avait jamais été. Regarder les femmes, c’ était quelque chose qu’ il ne fessait pas pendant le boulot. Esprit d’ étique, on ne drague pas pendant le service. Mais ca, Antoni était bien le seul à savoir qu’ il était en service. Il n’ avait plus quinze ans, il savait se montrer gentleman et ne fixait pas les poitrines où les jambes des femmes. Mater discrètement, c’ était tout un art et cela s’ apprenait avec les années. Jessica devait être trop jeune pour ne pas avoir sentit le regard d’ Antoni. Il fut bref mais il avait vu tout ce qu’ il avait voulu regarder chez une femme qui ne savait pas conduire. Et qui en plus je la jouait autoritaire… Qu’ elle appelle donc les flics, la police c’ était lui. Alors même de dos, il se marrait bien l’ Agent Coleridge. Ce n’ était pas marqué sur le front de Jessica qu’ elle était très rancunière, sinon il ne lui aurait pas tourné le dos et ne serait pas remonté dans sa voiture. Il boucla sa ceinture et examina à l’ aide de son rétroviseur ce que fessait Jessica. Pour l’ instant c’ était amusant. Antoni pensa à démarrer sa voiture et la raser de près après tout elle l’ avait bien chercher et avec un peu de chance il y avait une flaque d’eau pour lui donner une douche froide, cela la calmerait.

    Antoni ne comprit pas ce qu’ elle fessait…. Un talon aiguille ? Sa roue ? Là, il se marrait bien…. On ne crève pas un pneu avec un talon aiguille. Antoni était tombé sur une folle, il sortit son téléphone portable pour appeler, non pas son assurance, mais les services d’ urgences, histoire qu’ on vienne lui donner une camisole de force. Cette fille là pouvait être dangereuse. Le jeune homme coupa la communication dès qu’ il sentit sa voiture s’ inclina. Il vit le regard machiavélique et victorieux de Jessica et sortit en trombe de sa voiture pour examine rle pneu. Non… Non, ca ne pouvait pas être vrai. Un talon aiguille ne pouvait pas lui crever les pneus !!! Pas ca ! La voiture d’ Antoni était une série rare, le temps de commander le bon pneu et il serait déjà Noel. Antoni n’aimait pas se sentir piétons. Il était citadin et prenait tout le temps sa voiture. Rappelez vous, c’ est son meilleur ami son 4x4. On ne touche pas à son meilleur ami.
    C’ est mérité ? Antoni changea de couleur, et portant il ne rougissait pas souvent, si ce n’ est de rage. Parce que là a part avoir un mauvais Karma Antoni ne voyait pas ce qu’ il avait fait pas mérité ca. Pourquoi il n’ avait pas le droit de tirer a vu sur les individus nuisibles ? Antoni portait une arme, cela ne se voyait pas, mais franchement il pensa à s’ en servir. Peut être même contre lui-même, il en avait tout simplement ras le bol ! Pourquoi on ne pouvait pas démissionner de sa vie pour en découvrir une autre ? Cela serait tellement plus simple.

    - Vous êtes complètement barge.

    Antoni venait de réaliser que Jessica devait être une psychopathe. Une chieuse psychopathe, c’ est sensé être rare alors pourquoi ca tombait sur lui ? Antoni ne fesait plus du temps le malin, il était en colère. C’ était sa bagnole qu’ on venait de toucher ! Subitement, il devient tendu, après tou si Jessica voulait être chieuse, il pouvait faire pire qu’ elle. Antoni l’ entendit lui demander de l’ argent. Il rejeta sa tête en arrière et explosa de rire. Quel culot ! Là il se figeait d’ elle parce qu’ il était hors de question qu’ il débourse un centimes pour elle. Elle avait tous les tords. Antoni était parfait !

    - Et avec ceci ? Vous voulez une corde pour vous pendre ? J’ ai peut être ca dans mon coffre..

    Elle croyait encore au père noël ou quoi ? Antoni fessait rarement de l’ incitation au suicide, mais lui aussi était énervé et avait passé une journée de merde. Alors il avait le droit de se lâcher et de dire la vérité aux gens. Antoni se rapprocha de Jessica histoire d’ examiner la voiture… Son pneu était mort, ca c’ était sure, et il n’ en n’ avait pas de rechange… Maudite vie ! Maudite femme ! Maudite rencontre ! Antoni voyait Jessica comme une femme dangereuse, il n’ avait pas envie de l’ aider. C’ est con, mais il n’ aiderait pas une femme qui a bousiller son pneu question d’ étique. Antoni s’ approcha d’ elle, l’ air menaçant.

    - Nan. On est pas quitte du tout. Vous ne savez pas conduire. Vous m’ êtes rencontrer dedans. Ma voiture était à l’ arrêt. A l’ ARRET ! Le moteur était coupé ! Vous savez ce que s’ est le moteur ? Le vrou vroumm et bah il était pas en marche sur mon 4x4 ! CELUI OU VOUS AVEZ CREVE LE PNEU !

    Gueulard Antoni ? Oh oui ! Il savait gueuler et mettre les gens mal à l’ aise, comme ses militaires qui ont un balai planter dans le cul. Sauf qu’ Antoni n’ avait pas la coupe adéquote est qu’ il était beaucoup plus craquant. C’ est à ce moment là qu’ Antoni remarqua que Jessica était bien foutu. Mais ca, il le vit si vite qu’ il alla bien vite voit la plaque d’ immatriculation de la voiture de Jessica. Il ne décolérait pas.

    - Vous voulez jouez les garces, et bien va falloir assumer maintenant. Les papiers du véhicule, carte grise, assurance et carte d’ identité.

    Sans prévenir Antoni lui saisit le bras et la plaqua contre la carrosserie de la voiture. Cela se jouait aux corps à corps. Très collé serré, sauf qu’ Antoni était cul à Jessica si l’ on peut dire, il n’ y avait rien de sexuel la dedans. Antoni lui plaqua le bras derrière son dos, il lui fessai mal et s’ en foutait. Il sortit sa père de menotte qu’ il avait dans son dos, a sa ceinture, et menotta Jessica. Ce devait être la première fois qu’ il se la jouait flic macho et qui en avait rien a foutre de l’ ordre, mais elle l’ avait chercher.

    - Dite moi encore une fois que voulez des excuses et je serre encore plus les menottes… Dite vous que aimez ca et….


    Ce n’ est pas un trou de mémoire, c’ est juste qu’ elle le coupa !
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Jessica Austen

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MessageSujet: Re: « Mais regarde devant toi ! » [PV ANTONI]   « Mais regarde devant toi ! » [PV ANTONI] Icon_minitimeVen 17 Oct - 23:00

    Et puis quoi encore ? Il se prenait pour qui lui ? Comment osait il lui parler...on ne s'adressait pas à Jessica Austen de cette façon, il se prenait pour un flic ou quoi, comment il la regardait là...il l'agressai carrément, sortez les papiers, la carte grise, la carte d'identité, il était malade ou quoi, et puis soudain, une force colossale s'abattit sur elle, en effet il la plaqua contre son 4X4 et elle se prit la vitre contre la tête, elle grogna, c'est alors que l'impossible se produisit, il sortit les menottes et lui coinça les bras derrière son dos, il lui attacha les mains, il lui faisait mal...très mal...elle gémit. Il était flic, oh merde, dans quel pétrin elle s'était fourrée encore une fois, pourquoi avait-elle le don de se mettre dans de telles situations, elle ne comprenait pas vraiment ce qui la poussait à agir de la sorte, aussi mal. Sincèrement pourquoi assouvissait-elle ses pulsions, ses moindres désirs, tout, pourquoi était-elle aussi impulsive ? Mais pourquoi ? Peut être parce que ce type le faisait sortir de ses gongs, peut être parce qu'il semblait s'en fiche d'elle, peut être parce que c'était le seul d'ailleurs. Ce macho, ce flic ignoble, cet incompétent, ce con...ce mec si viril...oh, il l'excitait, oui, c'est ce pourquoi lorsqu'il lui demanda si elle aimait ça, elle faillit répondre un " oui " mais se retint de justesse pour prendre un air choqué, elle le coupa net dans son élan, et ajouta d'un air choqué, la tête légèrement reculée pour ne pas se prendre une deuxième fois la voiture, ben ça faisait quand même mal de se prendre un cylindré en pleine tête non ?

    - Mais vous vous prenez pour qui ? Je pourrais porter plainte pour harcèlement sexuel ! Un flic objet d'une plainte...vous allez entendre de mes nouvelles !

    Cria la jeune femme, toujours coincée derrière les bras de l'homme, bien sûr, si on étaient pervers on pouvait s'imaginer une scène assez...bon bref, ce n'était pas le cas, ce flic se prenait pour un macho et croyait qu'il allait pouvoir la faire taire aussi vite oh non! Bon d'accord, elle se demandait si elle ne devait pas arrêter de jouer comme ça mais...son égo en avait pris un coup et elle attendait à tout prix ses excuses, mais là, elle était pas trop en position de négocier, mais elle avait comprit son manège, ou du moins, crût le comprendre, elle pouvait se tromper non ? Elle était persuadée qu'il la trouvait attirante, qu'il lui avait rentré dedans exprès pour engager la conversation sauf qu'on ne plaisante pas avec la voiture de la rouquine, oh non, il avait touché un point sensible, crucial même, il avait percuté SA voiture, son amie, et elle en était terriblement touchée, il faudrait refaire la peinture et tout...non mais...ce type...mériterait...une bonne...fessée...elle ajouta ensuite d'une voix geignarde :

    - J'ai compris vôtre manège. Mais je ne suis pas intéressée...maintenant lâchez moi ou je vous traînerais en justice ! Vous n'êtes pas mon genre...

    Elle s'imaginait ensuite, dans son gros 4X4 brut, entrain de faire l'amour comme des sauvages, s'échanger des baisers fougueux, lui arracher la chemise, ébouriffé ses cheveux, jouir du plaisir de la vie humaine, avec ce flic, lui mettre les menottes à lui...mais elle arrêta de fantasmer lorsque la douleur la reprit, il lui faisait vraiment mal...il l'avait plaqué avec une telle violence...puissante...il...l'excitait et ça faisait travailler ses hormones, elle mordilla sa lèvre, c'était la première fois qu'une douleur physique l'excitait autant...oh oui elle était sûrement folle...mais il se tenait derrière elle et était si grand, si musclé, si viril, loin des jeunots de son âge, elle avait besoin d'un homme, un vrai, maintenant et tout de suite...qu'il soit prêt à dégainer...mais d'abord ses excuses...le plus important tout de même, non elle n'abandonnerais pas, elle ne '" lâcherais pas l'affaire ", pas aussi tôt, pas maintenant, d'abord, des excuses et après ils s'enverraient en l'air...oh il ne pouvait résister, elle était tellement sexy...personne ne lui résistait, espérons qu'il ne soit pas différent des autres, elle était tellement sure d'elle, se croyait plus belle que n'importe qui...oh elle avait tellement envie de lui qu'elle ne pouvait plus tenir et la douleur lui rappelait à quel point elle était en manque...

    - Aie..lâchez moi, vous me faite mal...espèce de...

    Elle ne finit pas sa phrase, elle avait une idée...simuler une douleur...elle fit mine de se torde, d'avoir mal à la cuisse, elle se baissa, elle grimaça, elle fit tout ce qui était en mesure du possible pour jouer la comédie, criant, elle laissa entendre un léger " crampe " et le poussa violemment derrière d'un coup de rein...elle continua de jouer la comédie jusqu'à ce qu'il arrête de la tenir aussi fort...elle brûlait d'impatience...ses hormones la surchauffait, il fallait qu'il stop, c'est tellement dur de résister à ses pulsions, ce policier était tellement énervant...tellement exaspérant...tellement...terriblement...horriblement sexy...cet air détaché et ses muscles si apparents...

    - Vous allez pas me laisser mourir sur place, si ?

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Antoni Coleridge

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MessageSujet: Re: « Mais regarde devant toi ! » [PV ANTONI]   « Mais regarde devant toi ! » [PV ANTONI] Icon_minitimeVen 17 Oct - 23:52

  • Antoni se la jouait vraiment gros bras, ce n’ était pas du tout dans ses habitudes. La plupart du temps, c’ était un bon flic, qui était gentil. Le mec prévenant, courtois et gentleman. Il avait toujours été macho, peut être à cause de ses origines italiennes, en tout cas, il n’ avait pas pour habitude d’ agir ainsi. Jessica était la première femme qu’ il plaquait ainsi. Sans mauvais jeu de mot, d’ habitude, c’ était lui qui se fesait plaquer .Jessica jouait les femmes choqués, franchement, Antoni n’ en n’ avait rien à faire. Son premier souci, c’ était son pneu ! Un pneu qui allait lui couter chère, son assurance ne remboursait pas les dommages causer par une folle. Il travaillait dans des quartiers chauds, mais il ne s’ était jamais fait crever les pneus, il n’ avait pas renouveler son assurance pour le vandalisme et il le regrettait. Cela ne servait à rien, tout comme menacer Antoni. Il fessait attention à sa carrière, et en tant normal il aurait pris l’ air outré, mais là, vraiment, il n’ en n’ avait rien à faire ! Elle pouvait porter plainte qui croirait une folle pareil ? Parce que lui pour lui pas de doute, Jessica était une folle. Le genre d’ hystérique à enfermer et avec la camisole. Harcèlement sexuel ? Antoni sourit, Jessica ne le vit pas, mais sur le coup il n’ y avait pas pensé. C’ est vrai, que là… cela prêtait à confusion.

    - Les femmes je les préfères saine d’ esprit. Equilibré….

    Antoni ne mentait pas. Non vraiment, les femmes complètement folle ne l’ avait jamais attiré. Son genre s’ était les rousses, ce qui ne jouait pas en sa faveur, mais aussi les femmes qui ont plus de charme et de subtilité, le genre rentre dedans, il n’ avait jamais vraiment accroché. Il trouvait cela trop impersonnel. Juste du corps à corps ce n’ était pas terrible. Antoni voulait plus. Toujours plus. Son genre s’ était femmes & enfants. Antoni aspirait à la stabilité. Ou alors il croirait aspirer à cela. Antoni retourna Jessica sur le capot. Il voulait vérifier qu’ elle ne portait pas d’ arme, c’ était la procédure. Le flic, sourit à Jessica. C’ était la première fois qu’ il la voyait de face et d’ aussi près. Antoni confirma sa première impression, Jessica était jolie. Le genre mannequin, avec un brin de provocation. Et une langue de vipère. Le sourire d’ Antoni s’ élargit, il venait de comprendre.

    - Je suis votre genre.

    Ce n’était pas une question. Il le savait. Elle était attiré par elle et …. Lui aussi. Mais il était flic. Cela ne voulait pas dire que cela ne flattait pas son égo, bien au contraire. Il était flatté. Très flatté. Une fille comme elle qui s’ intéresse à un mec comme lui, Et là, il baissa les yeux pour examiner les jambes de Jessica. Il ne pouvait pas planquer d’ arme. Aucun risque. Dans son soutien gorge peut être ? Antoni s’ autorisa un bref regard. A priori rien de mortelle la dedans. Le flic décida de la jouer un peu plus cool. Plus relaxe. Il passa ses mains le long de bras de Jessica, dans le simple but d’ atteindre les menottes.

    - On va s’ épargner la fouille au corps.On est pas assez intime.

    Antoni préféra éviter toute possibilité d’ argument contre lui si plainte il y avait, on n’ est jamais trop prudent. Et surtout, il n’ y avait rien fouiller dans une robe. Antoni ne savait pas que Jessica avait un gout par la comédie. Mais, il s’ en doutait un peu. Une crame, ce n’ était pas la fin du monde. Antoni fit comme si il était préoccupé, il détacha Jessica, une main seulement. Jessica restait donc menotté à une main, l’ autre menotte Antoni l’ accrocha au volant. Coup de bol, il n’ était pas loin. Antoni s’ assura que les clés n’ étaient pas dans les mains de Jessica, et non plus sur le volant. Il ne fallait pas qu’ elle s’ échappe. Antoni releva un sourcil. Une mimique séduisante ? L’ air crétin avec.


    - On va tous mourir un jour ou l’ autre.


    Antoni ne regarda pas Jessica bien longtemps. Il avait autre chose à faire. De bien plus intéressant, il s’ empara du sac de Jessica et déversa tout son contenu sur le siège passager. Il ignora la maquillage, les effets personnels divers et chopa le portefeuille de Jessica. A l’ aise dans sa perquisition, Antoni s’ assit contre la portière, face à Jessica. Désormais, il connaissait son nom, son âge, son poids et sa taille, et il voit qu’ elle avait le permis ca s’ était étonnant ! Combien elle l’ avait payé celui là ? Chère, c’ était une bonne imitation si s’ en était une. Antoni ne put se retenir de rire en voyant la photo sur son permis. Le genre de truc que tout le monde déteste, surtout les femmes.

    - Joli photo. Jessica Austens.


    Antoni releva subitement le regard vers Jessica et son décolleté, qu’ il évita bien vite. Elle le regardait bizarrement, à se demander si Antoni avait quelque chose d’ écrit sur son front. Loin de toute ironie, Antoni demanda :

    - Pourquoi vous me regardez comme ca ? Une dernière volonté avant de mourir ?

    Pas si loin de toute ironie finalement. Antoni avait bien compris que Jessica avait essayer de la berner. C’ était bien essayé. Mais raté, Antoni n’ était pas un bleu. Il n’ était pas stupide et pas née de la dernière pluie. Il savait qu’ il lui plaisait. Et il n’ était pas gay, loin de là…
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MessageSujet: Re: « Mais regarde devant toi ! » [PV ANTONI]   « Mais regarde devant toi ! » [PV ANTONI] Icon_minitimeSam 18 Oct - 21:57

    - Non, vous n'êtes pas mon genre...vous êtes bien trop vieux...

    Répondit-elle à son affirmation, mais il continuait à se prendre pour un dieu, elle détestait qu'on la prenne pour accessible, pour qu'elle passe pour la fille attirée et lui pour l'homme pas intéressé, elle avait besoin de se sentir le centre du monde, attirante, désirable, et non pas le contraire, son égo en avait prit un coup et elle ne voudrait pas l'admettre. Elle n'en démordrait pas ! C'était pas elle qui devait passer pour le chasseur, une fille ne devait pas l'être, une femme, ne devait pas l'être, mais un homme, lui devait en être un. La jeune rouquine avait des principes et si il ne les respectait pas, il irait se faire voir. Et puis, celui ci céda, il lui détacha les poignets, elle esquissa un faible sourire, prête à s'enfuir d'un moment à l'autre, mais elle fût coupée dans son élan lorsque celui ci l'attacha au volant de son coupé, elle poussa un cri et l'observait, tranquillement, entrain de fouiller dans son sac à main, elle lui lança un regard noire, mais pour qui se prenait-il ? Ce flic à la noix, ce macho...elle savait qu'elle lui plaisait, et ce qui la tuait c'est qu'il faisait comme si non, ce n'était pas le cas, et c'est ce qui le rendait si attirant, d'habitude, elle avait ce qu'elle voulait, d'un claquement de doigt, obtenant ce qu'elle désirait, les hommes ne lui résistaient jamais, mais celui se montrait différent et c'est ce qui le rendait aussi viril...cette résistance...ces yeux, il avait de ses yeux...elle détourna alors son regard sur son permis qu'il venait de saisir, il ne pût s'empêcher de sortir un commentaire sarcastique...devait elle le prendre avec humour ? " Jolie photo...". Elle ne répondit rien, c'était plus simple, elle fit de même pour la phrase d'après, oui elle le fixait, et alors ? Un chien regarde bien un évêque non ?


    - Vous vous prenez pour qui ? Libérez moi et laissez moi repartir. Je ne demanderais pas de remboursement, je ne porterais pas plainte, à deux conditions : vous me libérez et vous vous excusez.

    Ajouta Jessica d'un air sur, d'accord, elle regrettait cette impulsivité qui l'avait poussé à se montrer aussi agressive envers lui, elle avait faillit se faire embarquer, mais elle voulait ses excuses, il devait lui présenter, question de vie ou de mort, il ne pouvait s'en aller sans lui en présenter non ? Problème d'éthique, c'était simple, le mec à toujours tord et il s'excuse, la fille à toujours raison et obtient tout, vous me suivez ? C'est comme un jeu sauf que c'est moi qui pose les règles et je décide que c'est de sa faute, après tout, elle n'as pas fait de marche-arrière, il avait mentit, c'était presque normal qu'un de ses pneus soit crevé non ? Peut importe le prix qu'il a couté, elle s'en fichait, c'était elle d'abord et non le contraire. Et pour sa carrosserie ? Sa peinture ? Non mais, ça aussi ça prendrait du temps...enfin, elle n'y songeait pas trop, elle voulait juste des excuses, c'est tout !

    - Ecoutez, je sais que je vous plait mais faite vous une raison, c'est voué à l'échec. Je suis une femme qui à des goûts de luxe que vous ne pourrez jamais satisfaire, draguez moi tant que vous voulez, je ne suis pas intéressée, vous ne pourrez jamais m'avoir.


    Dit elle avec peut être trop d'assurance. Elle en était sûre et était plutôt franche, si elle avait envie de dire quelque chose, elle le disait...rien qu'à voir son regard...elle savait qu'elle était irrésistible et qu'il avait louché sur elle, seulement, il ne l'admettait pas et ça l'énervait, pourquoi ne pas dire carrément ce que l'on pense ? Bon, bien sûr, elle n'allait pas dire " j'ai envie de vous, si on s'envoyaient en l'air dans vôtre banquette arrière ? ", un peu de retenue quand même...mais lui, il ne disait rien et se contentait de se montrer désagréable envers Jessica, elle avait autre chose à faire franchement, comme, se promener, rester seule...bon rien en fait mais tout serait mieux que d'être attaché comme un chien à son volant pendant que le débile observe sa carte d'identité, grise, son permis...rien d'autre à faire de ses journées à ce que je voit...enfin c'était réciproque...au moins, on peut dire qu'elle n'auras pas passé sa journée à s'ennuyer comme d'habitude...Quand elle était enfant, elle luttait contre l'ennui, elle s'occupait, comme elle pouvait en fait et même lorsqu'elle croyait s'occuper, elle se rendait compte que ce n'était pas le cas et qu'elle se mentait, qu'elle n'avait rien à faire, et que ses parents ne la laissait rien faire. Manque de confiance ou simple décision ? Elle n'avait jamais sût et s'en fichait, ils étaient morts Jessica ! Ils étaient morts et s'en fichaient de toi...pourquoi y repense tu ? Les jours ou le temps semble long, ou la solitude l'emporte et ou le temps déverse sa misère, elle y repense, elle à mal, elle souffre même si elle n'as jamais eu de lien avec eux...elle n'as que ça à penser, elle n'as rien d'autre...une vie...vide de sens, monotone, insipide..Parfois elle avait envie de pleurer, et parfois elle s'en empêchait, elle n'aimait pas verser de larmes, elle n'en versait pratiquement jamais, car elle pensait éperdument que c'était une marque de faiblesse et qu'elle se livrerait au mal, qui l'avait en fin de compte déjà possédée. Son rêve le plus fou serait de mourir, maintenant, tout de suite, sans douleur, plus rien à regretter, le bonheur, elle le vivrait, pour toujours...pouvoir s'envoler...aussi haut et admirer le ciel si bleu...se plonger dans ses rêves...et n'avoir plus qu'à penser à la fin du monde...C'est vrai, qu'est-ce qui l'empêchait de se suicider ? Elle n'avait rien, et n'aurait jamais d'avenir...au plus profond d'elle...un rêve dont elle ignorait encore tout...avoir un mari...des enfants, une vie stable baignée d'amour et de sens, des journées paisibles dans un quartier ensoleillée...une vie rangée, clean...ou elle s'évertuerait à donner à ses enfants les chances dont elle n'as jamais disposé...mais cela n'arriveras jamais...elle n'arrivait pas à s'attacher aux gens...et encore moins à tomber amoureuse, cela ne lui était jamais arrivé. Et puis, elle n'avait jamais eu de relation à proprement parlé, elle avait toujours décliné...refusé, se contentait de coups d'un soir sans avenir...sans fin.

    - Excusez vous, lâchez moi et on oublie, on repartiras chacun de nôtre côté et on passeras une bonne journée.


    Elle s'étonna elle même, elle n'avait plus envie de lui sauter dessus, de lui arracher ses vêtements, de se comporter comme un enfant, c'était finit, ses pulsions envolées, la tristesse repartie, la solitude pouvait se lire alors dans ses yeux comme dans un...livre ouvert. Le regard qu'elle portait était significatif de beaucoup de choses, notamment d'une profonde mélancolie. Seulement, il fallait avoir un minimum de jugeote pour le déceler, ce qui ne serait sûrement pas du cas pour ce policier dont elle ignorait jusqu'au nom. Elle soupira et tira la menotte, rien à faire, scellée autour du volant, elle lui détruisait le poignet. Quelle violence, quelle arrogance, cette impertinence, ce flic...
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MessageSujet: Re: « Mais regarde devant toi ! » [PV ANTONI]   « Mais regarde devant toi ! » [PV ANTONI] Icon_minitimeSam 18 Oct - 22:39

  • Bien trop vieux ? Antoni releva la tête perplexe, il allait ouvrir la bouche mais la referma bien rapidement. Il détestait ce genre de réflexion. Il n’ aimait pas qu’ on le prenne pour un vieux ! Il n’ était pas si vieux… Et surtout même si la quarantaine approché, Monsieur Coleridge était bien conservé, pas un kilo en trop, pas de cheveux blanc. Il était même rasé. Il n’ était pas du genre à se laisser aller. Il était décontracté dans son jean, et surtout avec son blouson en cuir en voyait qu’ il fessait attention à son look. Bon, vu les horribles chemises à lignes qui lui arrivaient de porter, il fessait plus attention à sa silhouette et à son endurance qu’ à son look. Antoni jugea bon de ne pas répondre à la provocation. Cela ne servait à rien de montrer qu’ il était susceptible sur son âge. Y’ a que les vieux qui sont comme ca ! Pour qui Antoni se prenait ? C’ est vrai qu’ il ne s’ était pas présenté. Il glissa sa main dans la poche intérieure de son blouson, afin d’ en sortir sa plaque. C’ était bien un vrai flic. Il l’ a présenta à Jessica Austens.

    - Antoni Coleridge. Putain, c’ est con vous êtes tombé sur un flic.


    L’ air compatissant d’ Antoni n’ était pas tout à fait un leurre. Il trouvait Jessica soudainement triste. Elle était toujours en colère et cela la rendait énormément séduisante. Mais aussi très insolente. Antoni ne comptait pas s’ excuser, c’ était hors de question, il n’ avait rien fait ! Et les excuses s’ étaient un signe de faiblesse, ce n’ était pas vraiment un adepte. Antoni était du genre à se montrer de très mauvaise foi, surtout quand on lui demande quelque chose ! Oui, vraiment… Si on lui disait blanc, il fessait noire. Il aimait commander mais pas être commander. Il ne recevait d’ ordre de personne, vraiment personne… Surtout pas d’ une femme ! Question de principe chez les machos.

    - Vous n’ avez pas remarqué ? Vous n’ êtes pas en mesure d’ exiger quoi que se soit. Les excuses, c’ est vous qui m’ en devez ! Et aussi un pneu neuf.


    Jessica ne manquait pas de culot. Jessica n’ allait pas repartir comme ca. Antoni n’ avait qu’ une envie… perdre la clé des menottes et l’ abandonner là. Franchement, pourquoi il restait encore là ? Qu’ est ce que c’ était con, mais Antoni n’ arrivait pas à partir. Il ne voulait pas partir… Il ne voulait pas la quitter. Si il parait maintenant, il aurait vraiment un gout d’ inachevé dans la poche. D’ où sortait cette femme ? Pourquoi elle se montrait dragueuse, puis complètement distance… Je te veux si tu me veux pas ? Si tu me veux pas alors je te veux ? Antoni n’ avait jamais joué à ce genre de jeu. Il en avait raté des choses dis donc… Il était peut être temps de remédier à cela. Antoni se mordit la lèvre, Jessica plaisait à Antoni. Elle devait plaire à tous les hommes, sauf au gay. Non, vraiment… là c’ était même pas une question. Antoni fit le tour du véhicule pour être face à Jessica. Elle avait des gouts de luxes et il ne pourrait pas la satisfaire ? Mais il n’ avait pas envie de cela. Antoni s’ accroupit derrière la portière et posa ses bras le long de la vitre, c’ est chouette les décapotables. Ainsi, il était à la hauteur de Jessica. Il hocha la tête, se mordit les lèvres, essayant de ne pas exploser de rire.

    - Je ne vous ai pas mis les menottes parce que j’aime le sentiment de puissance que ca me procure. Je ne l’ ai pas fait non plus parce que j’ ai peur que vous vous jettiez sur moi… Même si, je suis sure que vous y avez pensé. Je l’ ai fait parce… Je tiens à mes pneus !!!

    Antoni était champion pour passer d’ une voix douce à une voix un peu plus énergétique. C’ est vrai quoi, il tenait à sa caisse ! Mais il n’ aimait pas qu’ on lui dise que quelque chose était impossible à faire… Dites lui blanc et il fera noire. Antoni se fichait royalement d’ elle. Il le regrettait lorsqu’ il aperçut sa mine triste. Il la préférait en femme fatale. Il soupira devant cette tête de mule qui tenait à lui arracher des excuses.

    - Même pas en rêve.

    Antoni refit le tour du véhicule et s’ assit côté conducteur. Après avoir balancé le sac de Jessica à l’ arrière. Il était désormais d’ humeur joueuse. Bien décidé à ne pas laisser partir une femme comme ca. Non vraiment… il n’ avait pas envie de la lâcher depuis qu’ elle avait envie de partir.

    - Je peux partir, vous m’ avez crevé mon pneu.

    Grand sourire, Antoni lui proposé néanmoins un deal.

    - Disons que si vous répondez en toute sincérité à mes questions… Je me montre clément. Cela dit, vous vous excusez et vous me dédommagez mon pneu. C’ est la moindre des choses. Je ne céderais pas sur ce point.
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MessageSujet: Re: « Mais regarde devant toi ! » [PV ANTONI]   « Mais regarde devant toi ! » [PV ANTONI] Icon_minitimeSam 18 Oct - 23:42

    Là, il poussait le bouchon un peu trop loin, ce mec, c'était un vrai macho, un homme qu'elle aurait aimé à ses côtés, mais elle ne l'aurait jamais, parce qu'il l'énervait de trop, mais ce n'était pas ça, l'amour fusionnel ? Des extrêmes à la tendresse ? Mais elle ne tomberait jamais amoureuse de lui, parce qu'elle n'était jamais tombée amoureuse de personne, parce qu'elle ne s'attachait pas aux gens, et sûrement parce que les gens ne comptaient pas pour elle. Après tout, c'était pas plus mal, les gens venaient, repartaient, mais ne restaient pas, ils s'en fichaient, ils n'étaient là que par interêt, pas parce qu'ils avaient envie de l'aider, et ça, elle le savait c'est bien pour ça qu'elle ne s'attardait pas à avoir de vrais amis. Elle n'en avait pas d'ailleurs, elle s'en fichait, les femmes ne l'appréciait pas, on la considérait comme une prédatrice qui volait tous les hommes...les hommes quand à eux, l'aimait bien, en fait, ils s'intéressaient à elle plus par son physique que par sa personne, c'était normal, elle ne se dévoilait pas, elle préférait toujours cacher ses sentiments, de peur d'être trahie, trompée, peur d'avoir mal car elle ne savait pas si elle aurait la force de survivre à d'avantages d'épreuves. Elle soupira, elle en avait marre du comportement de celui-ci, il était exaspérant, elle avait envie de le gifler et de s'enfuir. Femme fatale ? Oui, elle l'était, mais à ce moment précis, elle s'était envolée, avait disparût. Mais elle tâchait de faire comme si de rien n'était, elle reprit un sourire et se rapprocha de lui, grimaçant parce qu'elle avait tiré sur la menotte de son poignet, ça lui avait fait mal. Elle ne dit rien pendant de longs instants. Elle l'observait doucement, essayant de lire en lui et de découvrir le fond de sa pensée. Elle savait qu'il était attiré par elle, et il n'osait toujours pas l'admettre. Mais pourquoi donc ? Mais qu'il le dise, voyons, mais c'est simple.

    - On s'en fou du pneu ! Vôtre pneu mais on s'en tape !

    Lâcha t'elle en tapant du pied du haut de ses talons aiguilles. Elle frappa sa menotte contre la carrosserie en lui jetant un regard énervé. Elle perdait patience, quoi de plus logique, ce type lui prenait son temps, il lui bousillait son temps. Elle en avait marre, pourquoi était-il aussi détestable envers elle ? Pourquoi ne lui disait-il pas tout simplement la vérité, elle savait qu'il avait...peut être envie d'elle, seulement, aurait-elle envie de l'entendre dire la vérité qu'elle savait déjà ? Rien de plus excitant de courir après un homme qui ne vous témoigne aucun interêt car à ce moment, on peut " jouer ", si tout était facile, ce ne serait pas drôle, on s'ennuieraient, elle aimait ce sentiment de pouvoir lutter pour quelque chose. De ne pas l'obtenir en claquant des doigts comme tout ce qu'elle avait. Il représentait l'espoir cet homme et elle était curieusement intéressée par lui, sauf qu'elle, comme lui, ne le dirait pas. C'est alors qu'il lui fit une proposition. Elle accepta, pourquoi pas, aucune contravention. Rien. Pas de plainte, rien, des excuses, il pouvait courir, un dédommagement, idem, par contre, elle acceptait les questions. Elle le regarda un instant la mine boudeuse puis reprit un sourire agacé, elle hocha la tête en le regardant s'adosser à la voiture, elle se retourna et se mit en face de lui, le bras tiré vers le volant, elle le défiait du regard. Elle ne pût s'empêcher de loucher sur ses muscles apparents, ils semblaient si développés...elle détourna le regard et le fixa alors, un de ces regards dont elle avait l'habitude : femme fatale & intouchable.

    - Je répondrais en toute franchise si c'est la seule condition, j'abandonne et vous abandonnez les dédommagements et les excuses, c'est MA condition.

    Laissa t'elle entendre entre ces dents, elle plissa les lèvres et le soutint du regard. Elle se rapprocha encore de lui, sans s'en rendre compte, en fait c'est qu'elle penchait à cause de ses talons...elle jeta ses cheveux en arrière et passa la langue sur ses lèvres d'une manière plutôt sensuelle, mais contrairement à ce qu'on pourrait penser, c'était naturelle chez elle, comme ce genre de choses excitantes. C'était sa nature, elle n'y pouvait rien et constatait avec plaisir à quel pont les hommes rappliquaient à son passage, à quel pont ils la rappelaient vite après avoir unis leurs deux corps, à quel point ils devenaient accro à elle, mais à quel point elle s'en fichait.

    - Je vous écoute. Antoni Coleridge. Flic ou non je m'en fiche.

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MessageSujet: Re: « Mais regarde devant toi ! » [PV ANTONI]   « Mais regarde devant toi ! » [PV ANTONI] Icon_minitimeDim 19 Oct - 0:08

Antoni ne se fichait absolument pas du pneus, il tenait à sa voiture comme à la prunelle de ses yeux. Il n’ avait pas le temps d’ avoir un chien, alors la voiture c’ était son substitut de meilleur ami. Jessica était mal placé pour lui faire ce genre de remarque, elle avait péter une durite à cause d’ un tout petit incident sur sa voiture dont elle était la seule responsable… Antoni et Jessica étaient deux parfait opposé. Lui il ne savait pas jouer les mecs fatales. Il était plus du genre pas très bon dragueur, il se débrouillait bien, mais il était parfois si maladroit avec sa franchise et surtout il avait cette peur incontrôlé de la solitude. Antoni aspirait à créer une famille, avoir une petite femme au foyer bien docile qui le collerait de bonheur et qui lui ferait des enfants. Mais tout, ca il n’ avait pas. C’ était le rêve américain pure… En tant que fils d’ immigré italien, Antoni ne pouvait que vouloir ce dont il avait tant manqué pendant son enfance. De la stabilité. Il détestait la tournure, mais il donnerait tout pour la stabilité. Savoir qu’ une femme ne le quitterait jamais, que ses enfants grandiront dans un endroit sain, que son chien lui rapportera toujours la balle qu’ il lancera. Oui, c’ était con. Mais c’ était comme ca. Plus jeune, Antoni avait tout misé sur sa carrière, mais il n’ était pas un homme de bureau, alors les promotions ce n’ étaient pas son truc, pas assez fayot pour avoir de l’ avancement. Mais il était compétant et ca on ne pouvait le nier. Jessica montrait des signes d’impatience pas Antoni. Il savait se maitriser, il n’ allait pas taper du pied comme un enfant gâté pour obtenir des excuses. Il était contrarié qu’ elle refuse de les lui donner mais il abdiqua temporairement.

- J’ abandonne les excuses. Mais pas le dédommagement c’ est une question de principe. Si vous signez pas le chèque je prend votre sac pour le revendre…

Antoni était observateur, il avait été marié alors il avait appris à repérer les sacs de marques et ceux qui ne valait rien. Jessica n’ était pas le genre à avoir un sac à main de pacotille, si elle ne voulait pas le rembourser, il se rembourserait tout seul, c’ était aussi simple que ca. Antoni n’ était pas gêné pour un sous. D’ habitude, il ne se comportait pas comme ca, mais Jessica avait dépassé les bornes, il fallait qu’ il change de techniques. Antoni appuya sa tête sur l’ appuis tête et recula légèrement le siège, il se mettait à son aise, parce qu’ il n’ aimait pas avoir les jambes pliés et Jessica était plus petite qu’ elle. Il la dépassait d’ une petite tête ( la faute au talon) alors il aimait en profiter pour la regarder de haut, et adresser un coup d’ œil au décolleté. Un truc comme ca c’était limite du racolage sur la voix publique. Antoni voulait poser une question banale, qu’ est ce que vous foutez en ville ? Ca serait logique qu’ il s’ intéresse à cela, mais franchement il en avait rien à foutre… Il était du genre à ne pas oublier les petits détails et quelque chose l’ avait troublé, non plutôt dérangé.

- Pourquoi vous m’ allumez si je suis trop vieux pour vous ? Ce dont, franchement je doute fortement, parce que je ne suis pas vieux. Mature, et homme d’ expérience d’ accord. Mais vieux, non franchement, regardez moi bien !


La question était assez troublante. Les mots étaient sortit tout seul… Antoni lui offrit son plus beaux sourire, de belles dents blanches. Pas étincelantes mais Antoni sentait bon l’ après rasage. Rien dans son visage ne fessait vieux. Ni ses cheveux coupés court, ni ses magnifiques yeux noisettes. Il n’ avait pas de rides sur le visage sauf quand il fronçait les yeux, des rides d’ inquiétudes. Même pas de cernes à cause des somnifères, Antoni était frais comme un gardon et sans crème ! Antoni regardait toujours Jessica, il guettait ses moindres réactions, elle avait promit de répondre avec franchise… Espérons pour elle qu’ elle ne le vexe pas, sinon le menottes allaient rester.
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Jessica Austen

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MessageSujet: Re: « Mais regarde devant toi ! » [PV ANTONI]   « Mais regarde devant toi ! » [PV ANTONI] Icon_minitimeDim 19 Oct - 15:59

    Elle lui arracha alors son porte monnaie des mains et prit son chéquier d'un mouvement vif, oh elle en avait marre, elle allait signer son chèque et puis c'est tout, il allait arrêter de se montrer aussi désagréable et puis c'est tout. On auras tout vu aujourd'hui, d'abord, il lui rentre dedans en prétextant que son moteur est éteint, ensuite il se met à la menotte, ensuite il fouille son sac c'était pas pousser le bouchon un peu trop loin non ? Il abusait trop là, il y avait une certaine limite que personne auparavant n'avait franchit pour énervé à ce point là, la jeune femme, il se prenait surement pour un macho irrésistible mais elle lui prouverait le contraire, comme si elle ne résistait pas à son charme et ben si, la preuve, elle lui avait pas sauté dessus. Elle n'avait plus aucune pulsions, c'était passé comme quand les hommes ont leurs pulsions, soit ils se calment soit ils répondent à leurs besoins, ben elle s'était calmée, disons qu'il l'avait légèrement refroidie avec ces manières pas vraiment civilisées. Elle aussi parfois rêvait, du rêve américain, un mari, des enfants, un chien, une grande maison, mais parfois elle rêvait aussi d'une vie de femme active, respectée dans un métier, reconnue pour ses talents. Pas de mari, juste un fiancé, pour que ce soit plus excitant, plus frais, de peur de tomber dans la routine. Et parfois elle rêvait de mourir parce qu'elle n'aurait rien à perdre, désormais elle avait décidé que si elle ne trouvait pas de sens, et si elle ne nouait pas de lien avec elle, elle abandonnerait quelque que ce soit le jour, l'heure, ou le prétexte invoqué pour se justifier à elle même un tel acte. Rien ne la retenait, c'était tant pis, certains avaient ce à quoi ils avaient aspirés toute leurs vies, et d'autres vivaient avec un mal être, une douleur déchirante depuis leurs enfances, que personne au monde n'avait sût apaiser, pas faute d'être allé voir un psychologue, psychothérapeute et j'en passe. C'était pas preuve de mauvaise volonté bien au contraire, ni faute de moyens, faute d'avoir une vie bien chiante, c'est tout. Et ça même parler n'y changerait rien, personne n'apaiserait ses mœurs.

    - Combien voulez vous ? Deux milles ? Trois milles ? Cinq milles ça devrait être suffisant pour changer vôtre satané pneu.


    Dit la jeune femme d'un ton sarcastique sans se rendre compte de la somme qu'elle lui versait, sincèrement à moins que ses pneus soient ornés de pierres précieuse, ce serait étonnant qu'un seul ai ce prix là, tant pis il s'achèterait un cadeau, une nouvelle coupe ? Ce serait pas plus mal. L'argent n'avait jamais été un problème, elle en avait à profusion pour toute une vie, d'autant plus qu'elle ne s'engageait dans aucun projet donc rien ne serait assez couteux pour faire descendre son compte, enfin, ses multiples comptes. La seule chose qui avait été chère, c'était ses dépendances, et sa cure qui avait coûté vraiment, vraiment très chère. Mais un jour, lorsqu'elle dirait au revoir à ce bas monde, son argent irait à l'état, et ça lui foutait une pression monstre, pourquoi elle n'avait pas d'enfant ! Rien, son argent fallait qu'il profite à quelqu'un non ? Alors dès qu'elle le pouvait elle donnait de l'argent...c'était pas tout à fait une mauvaise fille, parfois c'était quelqu'un de bien, elle avait contribué au lancement d'une association pour l'adoption, donner des fonds pour la conception d'une école dans les bas quartiers. Elle pouvait être gentille...comme mauvaise.

    - Mais je ne vous allume pas ! Vous n'êtes même pas mon genre ! Regardez moi
    , dit elle en montrant son corps, personne ne peut résister à mon charme, je suis belle, sympathique, je n'ai aucun défaut physique...pourquoi je m'intéresserais à un vieux crouton dans vôtre genre...vous avez...la quarantaine bien passée...j'ai besoin de quelqu'un de jeune...de frais pas d'un débris !

    Lâcha t'elle sans se rendre compte de ses mots, bien sûr que non, elle n'était pas parfaite, c'était la première à le penser, personne ne l'était, elle par exemple, trouvait ses cuisses trop grosses, son nez trop long...et bien sûr, elle ne donnait pas plus de trente, trente-deux ans à Antoni, mais que voulez-vous, il affirmait avec autant de sureté que possible qu'elle essayait de l'allumer, encore pire qu'un homme qui ne se montre pas intéressé, quelqu'un qui lui raconte n'importe quoi...oh il l'énervait plus que tout, personne ne l'énervait jamais. Personne n'osait l'énerver, lui le premier, elle se sentait...en possibilité d'avoir quelque chose et ça lui faisait du bien. Elle regarda sa tête et soupira, tentant vainement de tirer sur son volant, comme si la menotte allait se décrocher d'elle même. Comme ça elle reprendrait la route et qui sait, elle l'aurait peut être renversé...oh rien de grave juste un petit coup sans faire exprès...il le méritait bien ce type. Ce vieux crouton comme elle disait. Et puis elle remarqua qu'il loucha sur poitrine, elle posa la main dessus, non pas que ça lui dérange mais bon...là c'était pas pareil ! Il ne voulait pas lui dire qu'il était attiré par elle alors qu'il la matait depuis qu'il lui avait rentré dedans...C'est un comble !

    - Et vous comment osez vous me matez, vous avez l'âge d'être mon père !

    Enfin ce serait assez "dégueu" dans un sens. Bon bref, tâchons de ne pas partir dans une discussion qui dépasse les limites du supportable. Mais cet homme si viril...bon arrêtons une seconde, ne nous voilons pas la face, analysons la situation, un homme, ok, il rentre dans la voiture d'une jeune femme qu'il trouve attirante, manque de bol, celle ci s'énerve contre lui, alors il se sert de ses atouts de flic pour la menotte et espère qu'elle le drague, non mais, c'est de sa faute non ? Pas de la faute de l'innocente Jessica qui tentait de rentrer chez elle comme une personne sage...pauvre d'elle, elle était à plaindre, obligée de rester coincée ici avec un flic attardé, de quoi cauchemardé non ? Elle soupira une énième fois et le fixait du regard, ne démordait pas et attendait une réponse de sa part, et franchement tenait à ce qu'il la détache. Elle lui tendit alors un bout de papier...un chèque, le chèque.

    - Laissez tombez. Prenez vôtre chèque, libérez moi et barrez-vous.

    * Quel crétin *
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MessageSujet: Re: « Mais regarde devant toi ! » [PV ANTONI]   « Mais regarde devant toi ! » [PV ANTONI] Icon_minitimeDim 19 Oct - 18:15

  • Antoni n’ aurait pas cru que Jessica allait le rembourser. Il souhaiter vraiment être rembourser, ce n’ était pas une question d’ argent. Lui aussi il en avait plus qu’ il ne lui en fallait. C’ est pas un homme seul qui dépensait beaucoup d’ argent. Juste de quoi vivre. Antoni était propriétaire de son appartement depuis de nombreuses années. Il ne dépensait vraiment pas beaucoup d’ argent, il était du genre très économe. Sa dernière folie, c’ était justement son 4x4. Son bébé n’ avait que quelques mois. Il avait longtemps hésité avant de ce l’ acheter, mais il avait finit par céder. Lui, non plus n’ avait pas d’ héritier alors autant profiter de cet argent pour son petit plaisir. Une fois mort, il se fouterait bien de ces économies. Mais comme il venait d’ un milieu plutôt défavorisé, Antoni connaissait la valeur de l’ argent. Il ne jetait pas l’ argent pas les fenêtres. Petit, il n’ avait même pas d’ argent en poche, sa mère fessait des ménages et son père Antoni ne l’ avait jamais vu. Alors, il ne voulait pas se retrouver sur la paille. Antoni avait toujours eut peur de manquer. Traumatisme de jeunesse. Antoni n’ en revenait pas qu’ une jeune fille pouvait lui proposer un chèque de 5 000 dollars pour un pneu. Elle n’ avait absolument pas la valeur de l’ argent. C’ était étonnant. Fille de riche, sans aucun doute.

    - 1 500 ! Et je vous rendrais la monnaie.


    Antoni n’ allait pas racketter Jessica. On pourrait croire mais quand même, il n’ était pas de ce genre. Antoni était honnête. Trop. Au point de ne jamais avoir fumer de joint aux autre chose que des cigarettes. Il n’ avait jamais touché à la drogue non plus. Antoni n’ était pas d’ accord avec Jessica. Il savait encore quand une femme l’ allumait quand même ! Et Jessica l’ allumait… Elle se serait pas frotté à lui autant quand il lui avait passé les menottes ! Il prenait Antoni pour un con, n’ empêche qu’ elle l’ avait vexé. Elle était parfaite et pas lui ? C’ était quoi ce délire ! Elle l’avait pas vu sa couleur de cheveux. Et sa mine de déterré… Antoni est surtout vexé à cause de la remarque sur son âge. Ca ne se fessait pas ! Antoni n’ était pas vieux. La quarantaine approchait et il ne voulait pas la voir venir. C’ était un sujet qu’ il ne fallait pas aborder en sa présence. Son âge c’ est sacré et tabou. Parce que toujours pas casé à son âge, c’ était limite une honte. Dite lui qu’ il va finir vieux garçon et là Antoni risque de vous frapper. Y’ a des sujets à ne pas aborder. En plus Jessica avait dit qu’ elle serait franche, c’ était donc vrai, Antoni était vieux !? Il était bien décidé à prouver le contraire.

    - Je ne suis pas vieux !

    Antoni l’ a matait ? Pas faux. Mais fallait voir comment elle s’ habillait aussi ! Antoni riait jaune. Jessica abusait. A l’ entendre, il s’ était vraiment rincer l’ œil de manière perverse. C’ était exagéré. Jessica avait un coup prononcé pour l’ exagération, cela c’ était vu a la seconde où elle avait planter son talon dans son pneu.

    - Elle est belle vôtre franchise. Vous êtres loin d’ être parfaite, une vrai garce, voila ce que vous êtes ! Et moi, Je ne suis pas vieux !!

    Antoni était énervé. Elle avait trop de culot cette fille ! Le traiter de débris.. elle était folle où complètement myope ? Peut être les deux. Antoni était exaspéré par sa présence. Il aurait su, il n’ aurait jamais pris de café dans ce bar. Il ne se serait pas garé à cet endroit là. Il n’ aurait pas rencontré Jessica. Et sa vie serait moins compliquée. Jessica mentait. Antoni n’ était assez vieux pour être son père. Sinon il aurait eut un gosse à 16 ans ! Cela fessait un peu jeune pour être papa ! Jessica le prenait vraiment pour un dinosaure. Il était décidé à lui prouver le contraire. Sans la prévenir, ou même lui demander la permissions, Antoni fit quelque chose qui pourrait lui couter une gifle. Mais peu importe, cela valait le coup, Antoni se pencha sur Jessica. Il posa une main sur sa joue et l’ embrassa. Pas comme un père embrassa une fille. Comme un amant embrasse sa maitresse, le genre de baiser qui fait monter la température. Avec fougue et tendresse. Un baiser langoureux. Le genre de baiser qui rendait facilement accro. D’ accord, Antoni était plus vieux qu’ elle mais quand même… Il se recula et la regarda droit dans les yeux. Il mit quelques secondes à retrouver ce qu’ il voulait dire :

    - Je ne suis pas vieux.

    Ce coup ci Antoni le disait comme une affirmation. Il n’ avait pas perdu son dentier et Jessica n’ était pas au bord de l’ évanouissement à cause de ce baiser. Antoni n’ était pas vieux. C’ était un fait. Il n’ avait pas fuit son regard. Elle pouvait le détester, il avait l’ intention que ce n’ était pas le cas et ce baiser avait du y jouer pour beaucoup.

    - Je suis trop jeune pour être votre père. Sinon, je me serais pas permis. Et… j’ aurais une fille, je ne l’ a laisserais sortir dans cette tenue. Ca peut créer des émeutes.

    Antoni n’ avait pas pris le chèque, il ne regardait que ses yeux et les traits fin de son visage. Il l’ avait embrasser et il brulait d’ envie de recommencer. Il n’ aurait pas du, mais peu importe… Cela le démangeait de recommencer. Il l’ avait mater… Oui. Mais qui ne l’ aurait pas fait ? Mais Antoni ne l’ admettrait pas. Jessica le savait bien qu’ il l’ avait mater ! Tous les hommes fessaient de même, c’ était normal. Et surtout quel idée de porter une robe si courte qui remontait sur les cuisses alors qu’ on était en période d’ inondation !
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MessageSujet: Re: « Mais regarde devant toi ! » [PV ANTONI]   « Mais regarde devant toi ! » [PV ANTONI] Icon_minitimeDim 19 Oct - 19:42

    - Sans façon, gardez vos petites pièces pour vous.

    Répondit-elle à son sarcasme, elle était riche, oui, elle avait toujours vécût avec l'argent, oui, donc c'était normal qu'elle n'ai pas conscience de l'argent non ? Pour elle, mille, deux milles, c'était pareil. L'héritage de ses parents avait été colossal. Et puis, elle n'avait pratiquement jamais acheté de folie excessive, mis à part quelques vêtements de hautes coutures. Non je veux dire quelque chose comme, je ne sais pas, une maison, ce genre de choses. Oh bien sûr, elle s'était achetée une voiture, des voitures, mais rarement. Combler son besoin matériel c'est ce qui lui restait à faire, trouver des occupations pour éviter l'ennui, c'était le revers pathétique de la vie. De toute façon, qu'il garde la monnaie ou non, elle s'en fichait, elle n'était pas à ça près. Oh et il remettait une couche avec son histoire d'âge, il s'était vexé ? Bien fait pour lui, qu'il descende de son piédestal, ce type ne méritait que du malheur, son caractère, ses manières, insupportable ! Détestable. Son bras se détacha de sa poitrine, bon il mate, qu'il mate alors, faite vous plaisir c'est Open-Bar ce soir. Pfiou, les hommes n'étaient que des bêtes perverses...comme les femmes au fond, sauf qu'elles étaient plus subtiles bien sûr, mais ne partons pas dans une discussion féministe, cela n'apporterait aucun interêt. Elle le dévisagea alors et émit un petit rire.

    - Sûrement. Je suis aussi garce que vous êtes vieux.


    Exaspérant, mais vrai, c'était pas tout à fait une garce, et il n'était pas vraiment vieux. C'était un compromis entre la vérité et le mensonge. Tout à fait Jessica ça. Les compromis, sa vie ce n'était que ça, des compromis, des promesses, de faux semblants, une vie emplie de mensonges berçait ses nuits et c'était comme ça ! Nous avons tous nos défauts non ? A regarder Antoni on pourrait croire que c'est un ex-taulard, c'est vrai, ces muscles, ce regard si vécût, si mystérieux...sans compter qu'à regarder l'inscription de son café, c'était pas le grand luxe, plutôt du bon marché. Mais pourquoi lui plaisait-elle ? C'est vrai, il semblait pas tellement riche, pas assez respectueux envers elle et profondément chiant...c'est ce qu'elle voulait, le change, la différence, il se démarquait...Loin d'être parfaite ? C'est le premier à lui dire. Ça la faisait bien ricaner, comment les gens pouvaient se mentir c'est affolant. Comme c'est facile, il n'as de défense qu'en s'en prenant à son physique, oh c'est mignon, il s'était vexé, elle avait touché un point sensible...elle se délectait de ce plaisir, elle soupira de plaisir, il la faisait tellement rire, pauvre petit flic, il était vexé...

    - Vous me faite bien rire.

    Ni une, ni deux minutes plus tard, il se pencha pour l'embrasser, il était entrain de l'embrasser, sans qu'elle s'y attende, mais curieusement, elle ne le gifla pas, elle y prit même un certain plaisir, ses lèvres, douce et charnues étrange, et ce baiser, langoureux, fougueux, un plaisir qui lui causa des frissons dans tout le corps, elle se délecta de ce plaisir qu'elle n'avait pas vécût depuis longtemps, habituellement, elle n'y prenait aucun plaisir, elle tâchait juste de séduire un homme, le plus souvent, déjà bourrée...mais là, c'était différent, l'homme était si...fabuleux, comment ne pas s'extasier. Il embrassait si bien...oh mais ça, elle ne lui dirait jamais, jamais, jamais...jamais...il s'arrêta alors et parlait. Mais elle ne choppait aucun mot prononcé, elle le regardait, comme envoutée...elle balbutia.


    - Heu...vous...je...vousavezditquoi...

    Dit-elle en avalant les mots et en débitant à une vitesse trop difficile à comprendre. Son frisson lui avait réchauffé le corps, mais ses pulsions revinrent comme un boomerang. Elle se mordilla la lèvre et oublia sa menotte. Il l'excitait, d'un mouvement vif, elle s'adossa contre la voiture et l'empoigna par le t-shirt, avant de l'embrasser fougueusement comme elle savait si bien le faire. Elle posa les mains sur son torse et poursuivait son baiser. Elle lui mordilla la lèvre et s'arrêta soudainement, tirée par son volant. Elle le regardait doucement et ajouta d'une voix plutôt douce.

    - Bon allez, détachez moi et on finit dans vôtre voiture.


    Avait-elle dit, un sourire coquin sur le visage. Combien de fois était-elle allée jusqu'au bout de ses pulsions ? Un bon nombre de fois, lorsque l'on se trouve en présence d'un mâle potentiellement intéressant, qui ne résisterait pas à tester ? Qui ne tente rien à rien, mais si ce n'était pas aujourd'hui, ce serait un autre jour, il pouvait en être sûr, elle aurait Antoni, elle l'aurait dans son lit, c'était juré. Et avant la fin de la semaine, elle était déterminée à l'avoir contre elle, coucher avec lui, cet homme était si...c'était inexplicable comme l'attirance mutuelle qu'ils éprouvaient l'un pour l'autre, disons un coup de foudre sexuel, c'est assez définit là ? Assez compréhensible aussi. Elle ne pouvait résister d'avantage à ce flic, c'était trop fort, ça ne lui était jamais arrivé, du moins sobre, devrais-je dire. Il lui fallait ce Coleridge mais aujourd'hui, même pas l'argent suffirait à obtenir ce qu'elle voulait et elle sentait que tout était possible et que pour une fois de sa vie, elle pourrait lutter pour avoir quelque chose de satisfaisant. Et elle pourrait ensuite ajouter quelqu'un d'autre à son tableau de chasse.

    - Dépêchez-vous, une occasion comme celle-ci, ça ne se présente pas deux fois.


    Non, elle n'avait pas conscience qu'elle pouvait se prendre un " râteau ", ça lui semblait, inconcevable qu'un quelconque homme puisse refuser cette " déesse ", ce corps de rêve, elle avait des défauts mais faut avouer qu'elle était super sexy non ? Qui n'aurait pas envie de lui arracher cette robe, de passer la main dans ses cheveux, ni de mater d'avantage sa poitrine comme il le faisait depuis le début de leur rencontre ? Hein ? Prouvez moi le contraire. Les hormones lui travaillait et elle devenait incontrôlable. C'est fou comment des gens peuvent dépendre du sexe !

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MessageSujet: Re: « Mais regarde devant toi ! » [PV ANTONI]   « Mais regarde devant toi ! » [PV ANTONI] Icon_minitimeDim 19 Oct - 20:22

  • Garder ses pièces pour lui ? Antoni était devenu un groom ou quoi ? Antoni s’ y connaissait un minimum en mécanique, mais le prix des pneus… franchement, il n’en n’avait aucune idée ! Il savait que ca coutait chère surtout sur une grosse voiture. La faute aux suspensions surement. En plus sur une série rare, cela devait être encore plus chère. Mais Antoni n’ était pas capable de dire un prix avec certitude. Il n’ était pas fourré assez souvent chez le garagiste pour cela. Antoni lui répondit avec sarcasme. Elle pouvait pas garder ses pièces pour s’ acheter des carambar ? Vu son corps, elle devait pas s’ acheter beaucoup de sucrerie contrairement à Antoni. Il pouvait se permettre, il fessait du sport ! Aussi garce qu’ il était vieux ? Antoni ne parierait pas la dessus. Il la regarda rire en souriant. Il aimait le rire des gens et en particulier celui des femmes. Il manquerait plus qu’ il soit accros à son rire à présent ! Antoni un ex-taulard ? Vu qu’ il n’ avait jamais enfreins la loi c’ était clair que cette remarque le ferait bien rire ! Il n’ avait même pas de tatouage ! Quelques cicatrices dû aux bagarres de rues. Celle de son appendicite se voyait plus. Encore fallait-il le voir torse nu ! Il ne se baladait pas comme ca tout le temps. C’ est pas parce qu’ on a un beau corps qu’ on le montre ! Antoni n’ était pas un exhibitionniste, il était même plutôt pudique. Il avait ses raisons. Antoni ne fut même gifler, tant mieux… Il n’ était pas accro aux gifles. Lui non plus ne croyait pas qu’ un baiser serait si intense. Surtout que c’ était juste pour lui prouver qu’ il n’ était pas vieux… c’ était bien pour cela qu’ il l’ avait embrasser ?! Antoni n’ en n’ était plus si sure, c’ était aussi parce qu’ il en avait envie ! Jessica ne savait plus quoi dure, elle était toute embrouillé et cela fit sourire Antoni. Pas un sourire charmeur à s’ en décrocher la mâchoire. Juste un sourire sincère, imbus de fierté et d’ arrogance.

    - Se devait pas être important.


    Ce qu’ il disait n’ était pas important. Ce qu’ elle disait non plus. Vienne un moment où il faut arrêter de parler dans le vide et passer à l’ acte. C’ est ce qu’ il compris quand il sentit Jessica se plaqua contre son torse et l’ embrasser. Antoni n’ avait même pas tenter de résister. Cela lui plaisait. Il ne savait pas que cette main d’ ouvre ferait mal à Jessica à cause de la menotte. Il l’ avait oublié, trop occupé à passé sa main contre le dos de Jessica et l’ autre à lui caresser les cheveux. Il n’ avait pas envie de cesser de l’ embrasser. Mais c’ est elle qui se recula. Gêné par les menottes ; Antoni mit quelques secondes à cogiter. Finir dans sa voiture. Elle voulait aller plus loin… Comme ca ? Ils ne connaissaient rien de l’ autre ? Juste un plan cul ? Cela serait pas le premier d’ Antoni ni de Jessica, mais… dans une voiture ? L’ image sembla un instant choquer Antoni. Mais il n’ allait pas faire ca dans la voiture de Jessica. Dans une décapotable. Exhibitionniste et atteinte aux bonnes mœurs… problème avec la pudeur aussi. Antoni savait que ce n’ était pas les bons moments, mais là son code pénal lui échappait. Il y a 5 minutes il aurait pu réciter les articles les plus important. Mais là… Jessica l’ avait embrassé, il n’ avait plus vraiment les idées clairs.

    - Ahem...


    Avaler sa salive et retrouver l’ usage de la parole. Plus compliqué qu’ il n’ y parait. Antoni avait vraiment envie de recoller ses lèvres à celle de Jessica. Il glissa sa main dans sa poche et en sortit les clés de ses menottes. Encore heureux qu’ il ne les avait pas perdu ! Imaginez le drame… Antoni détacha Jessica. Il ne pensait pas une seconde qu’ il pourrait s’ être fait avoir et qu’ elle pourrait l’ avoir allumé juste pour être libéré. Il ne pensait à ca. Il ne pensait qu’ a elle et lui. Assouvir leur passion… leur amour réciproque. Mais la voiture… Antoni n’ était pas fondamentalement contre, mais…. Faire l’ amour de manière aussi bâclé dans sa voiture. Ca craignait, …

    - Je suis pas vieux, mais j’ ai passé l’ âge de coucher avec une femme sur la banquette arrière d’ une bagnole. Mon hôtel est en face.

    En effet, l’ hôtel d’ Antoni était juste en face. Il comptait prendre son café et partir travailler. Au diable le travail ! Il en avait rien à foutre… Antoni sortit de la voiture et alla ouvrir la portière à Jessica. Pas par galanterie. Ou pas simplement pas galanterie. Pour pouvoir à nouveau l’ embrasser, ce qu’ il fit sans tarder. La plaquer contre sa propre voiture pour éviter de courber Jessica. Après les lèvres, il commença à embrasser son cou. Un avant gout de leur passage dans sa chambre. Pour ne pas qu’ il la quitte. Pour qu’ elle s’ approche encore plus près et qu’ ils puissent continuer.
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Jessica Austen

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MessageSujet: Re: « Mais regarde devant toi ! » [PV ANTONI]   « Mais regarde devant toi ! » [PV ANTONI] Icon_minitimeDim 2 Nov - 13:35

    Pour Jessica, c'était différent, n'importe ou, ses pulsions incontrôlées ne pouvaient attendre et même si, friande d'hôtel luxueux et de draps de soie, faire cela dans la nature, dans une voiture, elle aimait ça. En effet bien que ses hormones travaillaient sans cesse, des hommes comme Antoni lui donnait envie. Parce que c'était des gens qu'elle n'avait pas l'habitude de croiser, ils semblaient résister, du moins au début, et elle avait l'impression, cette impression de plaisir et de pouvoir atteindre quelque chose en luttant pour l'obtenir, pour quelque chose, ne rien avoir en claquant seulement des doigts en plongeant la main de le porte-feuille. Ouais, ce sentiment qu'éprouve n'importe qui, obtenir un travail, quelqu'un, pouvoir le faire. Elle se sentait tout le monde, et mine de rien, ça lui faisait du bien. En regardant Antoni, elle ne pût s'empêcher de penser qu'il aurait pût être son père. Oui, en y réfléchissant bien, il avait l'air plutôt vieux, mais ça l'excitait beaucoup. Oui, c'était peut être la plus vieille conquête à son tableau de chasse, mais il était, il était Antoni, et ça faisait le change. Elle avait tellement envie de lui, là, tout de suite. Il se pencha pour l'embrasser, elle se laissa plaquée sur la portière sans le repousser, son hôtel était à côté ? Pas de maison ? Pas de loft ? Rien ? Pas...d'argent ? Elle qui pourtant matérialiste jusqu'au bout, aimant les hommes riches et les douches au champagne allait coucher avec lui ? Ouais, lâcha t'elle à son égo en pleine pensée. Il l'embrassa alors dans le cou, un frisson la parcourût, c'était trop bon, envie de lui, maintenant, le plus vite possible, elle se mordit les lèvres et lui adressa un regard coquin. Elle esquissa un petit sourire et passa la main sous son t-shirt, sa fraîcheur sur ses muscles...il était tellement sex...elle laissa entendre :

    - Je pourrais attendre, allons-y sans tarder.


    Rien à foutre de la voiture, envie de lui, elle enverrait quelqu'un pour la chercher dans la journée. Jetant son sac à l'arrière de l'auto, passant la main dans ses cheveux, sa langue sur ses lèvres, elle se caressa la poitrine à mesure qu'ils marchaient en direction de l'hôtel. Pendant que celui-ci courrait presque, elle passa ses bras autour de son cou et l'embrassa fougueusement en plein milieu de la rue, puis elle attrapa sa main et lui fit un sourire radieux, plus elle courait, plus elle avait envie de lui, il leva la tête en faisant un petit signe bref, c'était l'hôtel promis, elle agrippa son haut et le tira dans l'entrée, rien à faire des gens, juste Antoni et elle. En passant devant le comptoir, le concierge n'hésita pas à émettre un petit rictus.

    - Tu la garderas pas celle-là.

    Tout ce qui se passa ensuite fût, du moins ressentit par Jessica, très rapide, ils montèrent l'escalier en s'embrassant comme des fous, celui ci sortit sa clef pour ouvrir la chambre, elle le poussa à l'intérieur et le plaqua contre la première chose qu'elle trouva, le lit. Elle lui retira sa veste et se mit à califourchon sur lui, l'embrassant elle se mit à penser que ce serait peut être le dernier, autant être seule que d'enchaîner les conquêtes d'une journée. Ses pulsions, elle trouverait le moyen de les arrêter. Elle méritait mieux que ça, seule, mais heureuse, elle ferait tout pour l'être comme tout le monde devrait faire, au lieu de se poser maintes et maintes questions et de tenter d'espérer, arrêter d'espérer, faire tout pour, y arriver, encore et toujours. A moins que sa sœur la rejette et dans ce cas, ce serait une autre paire de manches. Elle ne savait plus très bien dans quelle direction aller et paradoxalement elle n'allait nulle part, cet être qui la poussait à vivre à cent à l'heure, de façon à n'avoir rien à regretter, cet être qui criait moi et lui faisait faire n'importe quoi. Dans cette quête effrénée du bonheur recherché, elle était seule avec sa solitude, et sincèrement, avait elle une chance de s'en sortir, pendant qu'elle déshabillait Antoni, elle était comme perdue au plus profond de son être, ayant l'impression de vivre sans vivre, de faire ce qu'une autre faisait et de regarder, sans avoir le choix, sans être maître de ses actes. Ce vide qui s'étendait devant elle, oserait elle jeter son âme dedans ? Ou se raccrocherait elle à la vie comme la sangsue qu'elle était avec l'espoir d'y arriver ? Tout se passait si vite dans sa tête, elle se pencha et l'embrassait sur le torse, son bras droit plaqué contre celui ci, ses cheveux le long de son cou, sur son épaule gauche. Sa robe moulante devenant trop chaude pour elle.

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Antoni Coleridge

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MessageSujet: Re: « Mais regarde devant toi ! » [PV ANTONI]   « Mais regarde devant toi ! » [PV ANTONI] Icon_minitimeDim 2 Nov - 14:33

La robe de Jessica ne tarda pas à tomber sur le sol tout comme ses sous vêtements et la chemise d’ Antoni qui au passage perdit plusieurs bouton, il faut dire que Jessica n’ avait pas eut la patience de la déboutonner et avait préféré l’ arracher. Antoni ne lui tenu pas rigueur. Il la souleva et la plaqua contre le lit… La suite n’ appartient qu’ a eux. Le petit matin aussi. Antoni venait d’ oublier que Jessica pouvait être sa fille, en fait… même si il s’ en souvenait il s’ en fichait bien. Il n’ avait pas envie de complexer par rapport à son âge. Il avait la plus belle fille dans son lit et c’ était tout une fierté et même plus que cela. Il en fallait peu pour qu’ Antoni est le béguin et devienne accro à ce genre de nuit. Comment de temps cela fessait qu’ il n’ avait pas eu de relation ? Plusieurs mois et maintenant qu’ il y avait gouté il ne comptait pas se sevrer de sitôt. C’ est vrai, pourquoi se priver ? Quand Antoni se réveilla Jessica était sur son torse, sa respiration lente l’ avait bercé pour s’ endormir et pour la première fois depuis longtemps Antoni n’ avait pas fait de cauchemar. Il ne pensait plus du tout à son enquête ou à un autre soucis. Pour la première fois depuis longtemps, il se sentait bien. Il n’ avait pas envie que se sentiment disparaisse. Il faut garder Jessica rien que pour lui. Vu leur rencontre ce n’ était pas le genre de femme à qui il allait proposer un cinéma et un diner dans un restaurant. Cela se voyait bien que Jessica s’ attendait à autre chose. Il l’ avait compris ou moment où elle l’ avait regardé avec ce sourire coquin. Où ils s’ étaient mutuellement déshabiller du regard…
Est-ce que ce genre de relation était immoral ? Il n’ y a aucune lis qui interdit ce genre de relation, du moment qu’ elles sont consentante et Jessica était plus que consentante. Comme Antoni. De se côté-là pas de problème. Aucuns des deux n’ étaient hors la loi, maintenant est ce que c’ était moral ? L’ eglise ne serait surement pas de cet avis. Mais l’ église n’ était pas une préoccupation d’ Antoni. Les échos de la population aurait pu être un frein, mais là Antoni devait admettre qu’ il s’ en fichait un peu. Il n’ était ainsi que pour quelques temps, Eagle Rock était une chouette ville mais il ne comptait absolument pas s’ y installer ! C’ était trop ennuyant à son gout et Antoni s’ était jurer de ne pas s’ installer seul dans un quartier comme celui-ci. Etre le célibataire endurcit du quartier ne l’attirait pas.
Est-ce que cette question avait une importance quelconque aux yeux de Jessica ou Antoni ? Il faut croire de non, de la manière où il l’ attira contre elle. De la façon dont leur corps ne firent qu’ un. Ni l’ un ni l’ autre ne sentait concernait par ce type de débat. Ils avaient autre chose en tête et cela ne concernait pas leur historie d’ assurance.


Fin du Topic.
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