| | | CillianNEWMAN - done. |  |
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Cillian Newman
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| Sujet: CillianNEWMAN - done.  Dim 26 Oct - 19:35 | |
| « CILLIAN NEWMAN »
Madame Tiggs s’était levée tôt ce matin. Aujourd’hui elle devait faire visiter l’une des maisons d’Eagle Rock à un client. Comme toutes les autres, c’était une belle maison, lumineuse, avec un jardin et de nombreuses pièces. Pour s’assurer que tout soit en ordre, Mme Tiggs fit un petit tour dans chacune des chambres, dans le salon, la cuisine, la salle de bain ainsi que dans le reste de la demeure. Lorsqu’elle eut terminé, il était dix heures pétantes. Son client ne devrait donc pas tardé. Une grand sourire se dessina sur ses fines lèvres lorsqu’elle entendit la sonnette retentir. Elle alla donc ouvrir, pressée et enthousiaste.
« Bonjour Mr Newman, Cillian, je suis heureuse de vous voir. » dit-elle en accompagnant son hôte dans la maison. Puis elle jeta un coup d’œil aux nombreux papiers qu’elle avait entre les mains.
« Donc si je résume bien, vous êtes né le trois septembre mille neuf cent quatre-vingt sept ce qui vous fait vingt et un ans. » Comme à son habitude, Mme Tiggs commença la visite dans la joie et la bonne humeur. La jeune femme était réputée pour faire signer de nombreux contrats grâce à ses méthodes de travail, elle n’avait donc pas l’intention d’en changer. Après quelques commodités d’usage et la visite du rez-de-chaussée, l’agent immobilier ne put s’empêcher de poser quelques questions. Après tout quel mal y avait-il a ce qu’elle s’informe si cela pouvait aider à ce qu’elle comble plus facilement les désirs de ces clients. Elle resta cependant prudente afin de ne pas paraître trop indiscrète.
« Sans vouloir être indiscrète, qu’est ce qui vous a poussé à déménager ? » demanda-t-elle avec un fin sourire ?
« La météo. - répond-il assez évasif dans un premier temps. Puis, se rendant compte que l'agent immobilière lui lançait un regard qui en attendait beaucoup plus, il décida d'optempérer - Las Vegas où j'ai vécut pendant dix-ans devient vite étouffant, la région des Grands Lacs où je suis né et ai vécu jusqu'à mes neuf ans s'est donc imposée à moi comme une évidence. Eagle Rock, c'est ma première et vraie maison à mes yeux. Une chance que l'Université de Chicago veuille bien de moi. »
« Hum, d’accord. Et, avez-vous déjà eu des problèmes de voisinage ? »
« Je suis assez jeune comme vous pouvez le constater, si j'ai déjà vécu des problèmes de voisinage, c'est surtout à travers ma famille, notamment ma mère. Assez hystérique quand on la cherche, je dois le reconnaître. Peut-être ais-je hérité de certains traits de son caractère ... En effet, je dois l'avouer, il m'est déjà arrivé d'être assez violemment critiqué sur mes habitudes quotidiennes par mes voisins de chambres à la fac. Rien de grâve cependant, je vous le promet. »
« Vous savez, Eagle Rock est un quartier chic et la vie n’y est pas donnée. Etes-vous sûr(e) de pouvoir joindre les deux bouts facilement ? »
« Assez sûr, oui. J'ai la chance d'avoir des parents qui donneraient tout pour contribuer au succès de leur fils : un succès que je suis venu chercher à Chicago alors rassurez-vous, si je porte ma candidature pour cette demeure, ce n'est pas sans avoir amplement pris le soin d'avoir un bagage financier conséquent. Je peux vous assurez que même si mon Université est privée, il me reste bien assez d'argent pour prétendre à un point de chute à Eagle Rock. »
« Étiez-vous au courant que deux femmes sont mortes il y a quelques temps ? Je ne devrai sans doute pas vous le dire d’ailleurs. Je suppose que c’est mauvais pour mes affaires. Mais c’est tout de même étrange, il paraît que la police est en plein brouillard ! »
« Des décés à Eagle Rock ? Et bien non, vous me l'apprenez. - temps de pause - Je présume que la police se charge de la chose et qu'elle met tout en oeuvre pour découvrir ce qu'il s'est passé. A vrai dire, s'il ne s'agit pas de meurtres, je ne me sens pas réellement inquiet. Si vous m'accorder cette maison, je pense mieux m'informer sur l'affaire, m'assurer que les victimes ne sont pas des personnes que j'ai pû connaître dans mon enfance et peut-être même apporter un soutien quelqueconque à la famille proches de ces deux femmes. La solidarité dans des moments pareils est quelque chose d'importante, de précieuse. »
« Enfin je peux vous rassurer, c’est un quartier sûr malgré tout. Êtes-vous du genre à poser 36 alarmes de sécurité par peur de vous faire cambrioler ? »
« Plutôt, oui. La sécurité est un droit; d'ailleurs second amendement de notre constitution : le droit au port d'arme pour sa sécurité personnelle. La sécurité est bien quelque chose qui me tient à coeur, en effet. J'ai, par ailleurs, déjà pris le soin de localiser le bureau de police le plus proche. On n'est jamais trop prudent, n'est-ce pas ? »
« Je connais une femme dont la nièce à bien faillit mourir à cause d’un incendie. C’est plus fréquent qu'on ne le croit. J’espère que vous n’êtes pas tête en l’air. Les accidents arrivent si vite. »
« Les accidents. Oui, comme vous le dîtes ils arrivent toujours trop vite, trop tôt. Le plus délicat, c'est de savoir dénouer l'accident malchanceux de l'accident prémédité. Je suis plutôt du genre sceptique et méfiant. »
« Méfiez-vous aussi si vous organisez des fêtes ou même de grandes réceptions. Non seulement les voisins se plaignent vite, mais en plus les choses se passent rarement comme on le souhaite… »
« Ne vous en faites pas pour ce point ... Je suis quelqu'un de responsable et de prudent, je vous le confirme une fois de plus. Les organisations de fête sont quelque chose que je gère plutôt bien, sans oser me vanter. Je sais imposer les limites nécessaires tout en offrant une ambiance qui reste festive. Et pour les voisins, je ne me fais pas de soucis : j'ai toujours la noble idée de les inviter en premier. » Mme Tiggs n’écouta la réponse de son interlocuteur que d’une seule oreille. Elle avait porté son attention sur les marches que tous deux étaient entrain de monter. Elle devait bien avouer que sa curiosité venait de prendre le dessus et qu’elle n’était plus très professionnelles. Mais qu’importe cela faisait bientôt 10 ans qu’elle était ainsi. Elle entama la visite du premier étage en présentant les pièces une par une. Comme tout bon agent immobilier qui se respecte elle ne manqua de montrer la maison sous son meilleur angle, tout en restant honnête cependant. Entre deux pièces, Mme Tiggs ne put s’empêcher de continuer son interrogatoire.
« Et, vous avez l’intention d’emménager seul à Eagle Rock pour commencer une nouvelle vie ou connaissez-vous du monde dans le coin ? »
« J'ai connu du monde à Eagle Rock de ma naissance à mes neuf-ans. Autant dire qu'à présent, je suis quasiment comme un inconnu dans ce quartier. Mais je garde l'espoir d'être reconnu par certains habitants, retrouver quelques enseignants ou quelques camarades de classe. J'espère sincèrement que cela pourra se faire, mais cela ne dépend que de vous. Et pour répondre à votre question première, je m'installe seul. Jamais rien de telle qu'une installation de célibataire. »
« D’accord. Et des animaux de compagnie peut-être ? »
« Un chien, oui. Un labrador que j'ai depuis des années maintenant. J'espère que ça ne posera pas de problème. Il est bien dressé, tendre avec les enfants et ne cours presque plus derrière les facteurs. Du moins, ceux qu'il connait mais je veillerai à ce qu'il n'endommage pas trop celui du quartier dans les premières semaines. »
« Haaa, sacrées petites bêtes. Je n’ai pas le temps d’en avoir une et c'est sans doute un de mes plus grands regrets. Et vous, vous en avez, des regrets ? »
Si cela n'avait été dans l'unique optique d'obtenir cette maison, jamais Cillian n'aurait répondu à cette question. « Comme tout un chacun. Les regrets sont quelque chose d'humain, que l'on apprend à subir bien trop tôt parfois. Mais ce n'est pas pour autant qu'il faut s'y morfondre, s'y abandonner. Les nouveaux départs sont souvent un très bon moyen pour laisser les regrets derrière soi. »
« Oui je vois. Bon je pense qu’il est temps de revenir à nos moutons, cette maison. » lança Mme Tiggs pour clôturer cette conversation. La visite se termina calmement, sans qu’elle se relance dans de grandes questions qui pourraient être gênantes. Son attention de posa exclusivement sur la belle demeure. En raccompagnant son client à la porte, elle fut satisfaite de voir qu’il semblait intéressé par le quartier. Encore une fois, sa curiosité légendaire n’avait pas posé trop de soucis. Du moins c’est ce qu’elle croyait, ce que les apparences laissaient croire. Et puis, rien ne pouvait faire croire avec certitude à Madame Tiggs que ce dernier avait été honnête avec elle…
______________________________________________________________«Et vous, derrière votre écran,
qu'avez-vous à nous avouer?»
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PSEUDO & AGE: Vous me reconnaitrez bien assez tôt x)
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Dernière édition par Cillian Newman le Lun 27 Oct - 22:25, édité 5 fois | |
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| | Sujet: Re: CillianNEWMAN - done. Dim 26 Oct - 19:37 | |
| - Souvenir d'enfance
Sortie d’école, un certain jeudi après-midi de l’année 1996. Cillian Murphy était alors âgé de neuf ans et rien dans sa vie jusqu’ici ne laissait prévoit le terrible choc qu’il s’apprêtait à affronter dès qu’il se trouverait sur le pallier de sa maison. Son sac à dos, trop lourd pour son dos mais dont il serrait fièrement les lanières dans ses paumes de main tandis qu’il montait dans le bus scolaire, était indubitablement son objet préféré. Il détenait, comme disait son père, tout son avenir. Ce sac était son ticket pour accomplir de grandes choses. De sa bulle, le petit garçon n’en sortit que pour saluer le chauffeur du bus qui l’amenait et le raccompagnait tous les soirs chez lui. Il le connaissait bien et ce visage constamment souriant, ces tempes grisonnantes et l’odeur de caramel qu’il dégageait rassurait, réconfortait tous les jours Cillian. Rapidement cependant, le petit retomba dans sa rêverie et alla s’asseoir au fond du bus, où il savait qu’il ne serait pas dérangé. Même si la place était la plus inconfortable de tout le véhicule, Cillian ne dérogeait jamais à son habitude prise. De son siège, il pouvait avoir une vue sur tous les autres élèves auxquels il se mêlait rarement et qui ne venait le chahuter qu’à de rares occasions. C’était ça le truc de Cillian : être à l’écart sans susciter ni jalousie, ni moquerie ni dédain. Il était fort et savait imposer son style, sa particularité et pratiquement personne ne venait remettre en question sa façon d’agir. Ils avaient tous grandit ensemble d’un certain côté et ils avaient appris à s’accepter comme tel.
Cillian aimait sa vie. Il était un excellent élève, promis à de grandes choses d’après son maître d’école et ses parents. Il était doué en course de vitesse et se passionnait d’astronomie. Il avait un chiot qu’il venait d’adopter, une chambre aux couleurs de Spiderman et une petite poignée d’amis avec lesquels il passait de longs week-end dans sa cabane dans l’arbre du jardin ou autour d’une table d’une des mamans du groupe qui leur offrait biscuits et verres de lait. Fils unique, il se préparait néanmoins à l’arrivée imminente du bébé qui poussait dans le ventre de sa maman. Il allait être le meilleur des grands frères : il l’aimerait, la dorloterait, lui raconterait les dernières aventures de l’homme araignée et peut-être même que si elle était assez douce avec lui, il lui permettrait de toucher à sa lunette d’astronomie.
Il pensait à tout cela lorsqu’il descendit en dernier du bus scolaire et qu’il traversa le patté de maison pour retrouver sa mère qui l’attendrait sans doute avec un chocolat chaud entre les mains. Il souriait presque seul lorsqu’il tourna à l’angle de la rue. Un sourire qui resta cependant suspendu à ses lèvres moins de trois secondes. C’était quoi ces voitures et ce camion rouge feu ? C’était bruyant, bien trop bruyant. Parquées devant sa maison, Cillian s’y fraya un chemin pour atteindre la porte de sa maison avec difficultés. Des mains larges et velues ne cessaient d’essayer de l’attraper par les coudes. Pourtant il y arriva, Cillian était un garçon tenace et résolu lorsqu’il s’y mettait.
Il resta planté à l’entrée de la maison, tenant toujours fermement les lanières de son sac. Un groupe impressionnant d’adultes occupait son salon : qu’avaient-ils donc à se presser autant en cercle ? Sur la pointe des pieds, le garçon tenta d’apercevoir l’objet de leur agitation et au bout d’une minute, un visage familier immergea enfin du groupe. Son père, la chemise déboutonnée, sa cravate oubliée et ses cheveux en bataille s’avança vers lui. Surpris de le voir à la maison à cette heure-ci, Cillian se rua sur lui pour se blottir contre son ventre. Il entendit alors son père, entre deux sanglots, lui annoncer que sa mère venait d’accoucher dans leur maison mais que Cillian n’aura jamais l’occasion de jouer avec elle parce qu’elle avait rejoins les anges avant même d’avoir eu le temps de regarder ses parents.
Deux semaines plus tard, Cillian Newman et sa famille était à l’autre bout des Etats-Unis d’Amérique, paumé.
Sortie d’aéroport. Cette fois, le sac qu’il tenait sur son épaule ne détenait pas des cahiers d’écolier mais deux livres parmi ses plus précieux : American Psyco d’Ellis et Le Portrait de Dorian Grey de Wilde. Deux barres de céréales les accompagnaient ainsi qu’une bouteille d’eau gazeuse. A ses jambes le frôlait « Peter Pan » qui semblait lui aussi trépigner d’envie de retrouver ses repères de jadis. Ce chien était très intuitif et malin, il comprit rapidement où il se trouvait à présent. Un vent glacial pour tout accueil, le jeune homme ne se démonta pas cependant, absolument ravi de retrouver cette fraîcheur familière, si contrastante avec le climat brûlant de la Californie, même à cette période de l’année. Cillian se félicita d’avoir apporté avec lui une veste qu’il jeta sur ses épaules sans plus attendre, luttant du mieux qu’il pouvait pour faire rouler sa lourde valise derrière lui en simultané. Il était hors de question qu’il perde du temps : il voulait arriver à son hôtel au plus vite et pour cela, il s’était réservé un taxi à l’avance depuis Las Vegas. Ainsi, il fut en route pour Silver Lake avant même d’avoir eu le temps d’apprécier le décor aménagé tout autour de l’aéroport de Chicago. Le jeune homme avait réussi à faire admettre le chien dans le véhicule après avoir promis qu’il savait rester propre et avoir, bien entendu, glissé un billet de vingt dans la paume du chauffeur. Cillian avait hâte de retrouver un semblant de « déjà vu », un sentiment de réconfort, un endroit où il savait qu’il aurait des repères après ces dernières semaines qui furent particulièrement bouleversantes.
Son retour forcément, fit ressurgir en lui une mélancolie qu’il avait essayé d’étouffer il y a des années de cela : ce retour lui rappelait son départ, les circonstances dans lesquelles celui-ci eut lieu. Depuis qu’il avait quitté Eagle Rock, il n’avait plus jamais été le même. Bien sûr, il été resté un bon élève, respectueux et attentif mais il semblait avoir perdu l’étincelle qui brillait dans ses yeux émeraudes, son ambition, ses rêves semblaient s’être mis entre parenthèses. Une parenthèse qu’aujourd’hui il semblait bien incapable de rouvrir. Il voyait sans le voir le paysage défiler devant ses yeux et bien qu’il n’ait pas dormi tout le long du vol, Cillian ne ferma pas les yeux pour autant dans le taxi. Il avait bien trop de choses en tête qui le tenait éveillé et nullement l’envie de s’abandonner dans le véhicule d’un inconnu. Il avait assez tôt apprit à se méfier de tout le monde, à n’accorder sa confiance à absolument personne. La fenêtre de sa portière était largement ouverte, malgré les remarques amères du chauffeur, et le vent s’insinuant entre ses mèches de cheveux, qui chatouillait le bout de son nez et malmenait sa vision lui faisait plus de bien que de mal. Cette fraîcheur était absolument ce qu’il avait recherché depuis des semaines. Il avait réellement besoin d’un totalement virement dans son univers, il avait besoin de tout recommencer à zéro, même si cela impliquait précisément de revenir au point de départ.
Une heure plus tard, Cillian paya le montant du trajet et descendit suivi de Peter Pan qui courait en cercle pour se dégourdir les pattes tandis que son maître sortit sa valise du coffre. Dix minutes plus tard, le jeune homme se retrouvait allongé sur le dos dans sa chambre d’hôtel, sa valise jetée au pied du lit et ses chaussures abandonnées à l’entrée, son chien jouant déjà avec. Cillian fixa le plafond durant de longues minutes, totalement insensible à son portable qui s’agitait, sous vibreur, sur sa table de chevet. Il savait pertinemment de qui il pouvait s’agir : de Naomi Dupry, sa petite amie. A moins que ce ne fut Siri Jones, son ex qui ne l’avait plus tellement été ces derniers temps. Ou sa mère. Peut-être même les trois à la fois. Il agissait peut-être comme un lâche, mais il savait que là où il avait été la veille, il n’aurait jamais pût s’épanouir, affronter le tournant que sa vie prenait et par-dessus-tout, être comprit.
Son arrivée à Silver Lake constituait le virage crucial de sa vie, une nouvelle page blanche qui n’attendait qu’à contrebalancer celles qu’il avait écrites jusque là. | |
| | | | Grace Monroe
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| | Sujet: Re: CillianNEWMAN - done. Dim 26 Oct - 20:50 | |
| Bienvenue  ou re-bienvenue Oo'
J'aime beaucoup le prénom.
Et sympa Peter Pan aussi =P
Belle fiche (:
N'oublies pas d'envoyer les secrets au Facteur + la gestion.
Je te réserve donc Chace. VALIDE
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| | Sujet: Re: CillianNEWMAN - done. Lun 27 Oct - 22:31 | |
| Re-bienvenue  Merci beaucoup à vous deux  Je me charge de l'envoi des secrets et de la gestion au plus vite =) | |
| | | | Grace Monroe
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| | Sujet: Re: CillianNEWMAN - done. Mar 28 Oct - 1:33 | |
| Ça me perturbe de pas savoir qui tu es, même si j'ai un doute XD | |
| | | | Nessa Weaver
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| | Sujet: Re: CillianNEWMAN - done. | |
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